Mélanie, étudiante à Bordeaux (11)
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Trash,
Malgré tout, Alban préféra attendre en se masturbant lentement, admirant le corps frêle et souple de Mélanie se tendre et se cambrer pour accueillir les assauts fougueux du hardeur devenu chocolatier qui ne la ménageait pas. Elle gémissait et poussait de petits cris rauques qui faisaient bouillir leur sang. Il faut dire que Richard avait plongé sa main droite sous le ventre de la jeune fille et accompagnait sa cavalcade de caresses appuyées sur le clitoris percé et engorgé de la demoiselle. En vieux routier, il l’amena à la jouissance en même temps qu’il se répandait dans son ventre, et Alban faillit exploser en la voyant se pâmer, les joues délicieusement rouges et les membres frissonnants. Puis à son tour il investit rudement l’anus libéré encore béant. Sans temps mort, il se déchaîna dans un galop frénétique, se ruant aussi loin qu’il pouvait dans les reins dociles et claquant les fesses fermes en cadence. Grisé par les pitoyables geignements de sa victime consentante, il lui crocha les hanches à deux mains pour mieux la maîtriser et entreprit de la pilonner à coups furieux qui eurent vite raison de la jolie blonde. Les mains crispées sur le drap qu’elle mordait pour étouffer ses hurlements, elle succomba et fut emportée par un orgasme plus puissant encore que le premier. Il ne cessa que quand son amant, planté en elle comme s’il voulait s’y perdre, poussa un cri et se vida dans ses reins en lourdes rasades de semence. Exténués tous trois, ils prirent une douche rapide ...
... et se couchèrent en plaçant Mélanie au milieu du lit. Pour s’endormir presque aussitôt, les membres emmêlés. Le lendemain après-midi, les quatre Américains étaient de retour et « s’occupèrent » de Mélanie à leur façon : brutale et méthodique. Ils se relayèrent dans les reins et la gorge de l’infortunée jeune fille pendant des heures, s’arrêtant seulement une demi-heure pour le dîner. De 16 heures à minuit, la tournante qu’ils organisèrent eut raison de sa résistance ; à compter de 22 heures, malgré leurs efforts redoublés, les quatre blacks n’arrivaient plus à tirer ni pleurs ni orgasmes du frêle corps brisé et souillé de la petite blonde. Elle dormit d’un sommeil comateux, recroquevillée dans un grand lit aux draps empesés de semence et de sueur qui lui collaient à la peau à son réveil. Elle gémit en s’étirant car son ventre n’était que douleur. Elle s’accroupit sous la douche et resta plusieurs minutes sous le jet d’eau un peu trop chaude qui délassa ses muscles. Puis, comme d’habitude, elle se tartina généreusement d’onguent entre ses fesses. Ce faisant, elle fut horrifiée de l’état de ses muscles anaux, boursouflés et hypersensibles, aussi prit-elle deux Doliprane avec un grand verre de jus de fruits. Les jours et les nuits suivants furent un peu plus calmes, un peu moins éprouvants pour la jeune fille. Elle nagea beaucoup et fit du vélo d’appartement ; le temps sur Bordeaux était maussade, et elle répugnait à faire du jogging dans ces conditions. De toute manière, elle ...