Mélanie, étudiante à Bordeaux (11)
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Trash,
... n’avait pas encore de soutien-gorge adapté à sa nouvelle poitrine, et il lui était donc impossible de courir. En plus, le cadenas qu’elle portait en permanence n’était franchement pas facile à oublier. Le jour du retour de son Maître, Mélanie considéra son sein gauche sur lequel Freddy avait tenu à marquer sous forme de barrettes noires le nombre d’orgasmes recensés depuis son retour de la clinique : treize barres alignées, regroupées par cinq comme il se doit. Quand monsieur Lenoir sonna à la porte d’entrée, il était déjà 17 heures ; la jeune fille bouillait d’impatience, et en même temps une profonde angoisse la gagnait. Elle avait peur de la réaction de son Maître quand il saurait qu’elle lui avait encore désobéi et joui treize fois. Nue, elle attendait en position n° 1 dans le salon, essayant de faire le vide dans son esprit. À sa surprise, monsieur Lenoir n’était pas seul : un autre homme suivait Freddy, un jeune homme aux cheveux noirs et à la barbe de trois jours qui mangeait son visage de pirate. Monsieur Lenoir s’approcha de lui pour lui passer un bras autour du cou, et Mélanie se rendit compte que le nouvel arrivant était plus grand que lui qui avoisinait déjà les deux mètres. Elle comprit alors : bien sûr, c’était le fils du Maître. Un bel homme assurément, au visage taillé à la serpe, éclairé par des yeux brillants et pétillants d’intelligence. Mais un visage de prédateur aussi, au nez d’aigle et à la bouche dure. Mélanie déglutit et resta sagement immobile ; tout ...
... au plus sa respiration accéléra, soulevant sa poitrine opulente en cadence. — Voici Mélanie. Elle a dix-huit ans, est étudiante en Droit et soumise, comme tu le vois. — Elle est magnifique, papa. Elle est intelligente ? — J’ai cherché un peu ; elle a eu le bac avec mention bien, et sa première année de Droit aussi. Elle te plaît, donc ? — Il faudrait être aveugle, dis ! — Lève-toi, 32. Jambes écartées, plus que ça. Sur la pointe des pieds. Mains sur la nuque, coudes écartés, voilà. Bouche ouverte ; plus... Voilà, Thomas, tu peux même toucher. Ledit Thomas ne répondit pas mais tourna lentement autour de Mélanie qui resta immobile, tremblant un peu et respirant un peu trop fort. — Elle est superbe ! Un corps de rêve. Je ne suis pas fana de tatouages et de piercings, ni même de grosses poitrines d’ailleurs, mais ça lui convient à merveille. — Pour les piercings, tu sais qu’en enlevant les tiges métallique, les orifices se referment, complètement ou non. Pour les tatoos, c’est effaçable, mais excessivement douloureux. Et ça lui rappelle ce qu’elle est. Pour la poitrine, elle suit un traitement hormonal ; donc, en l’arrêtant, sa poitrine diminuera un peu. — Pourquoi tu m’expliques tout ça ? — Eh bien, j’ai vu ta réaction. Elle te plaît, et tu es seul à nouveau. Tu auras vingt-cinq ans dans trois jours : j’ai pensé te l’offrir pour ton anniversaire. — Tu sais ce que je pense des relations à court terme, papa... — Oui, mais quand je parle de te l’offrir, c’est sans limite de temps. ...