Lendemain de tempête
Datte: 23/08/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
parking,
telnet,
cérébral,
noculotte,
Oral
nopéné,
... ce matin.— Oh moi, j’ai l’habitude. Mon mari est souvent en déplacement. Tiens, hier soir, au dernier moment, il m’a encore fait faux bond. Soit disant un rendez-vous d’affaires à Macon. Je ne sais pas ce qui est faux : le rendez-vous, Macon ou les affaires. M’enfin, c’est lui qui rapporte l’argent à la maison, alors…— Si tu as besoin d’en parler, n’hésite pas Le clin d’œil était peut-être de trop. Voilà qu’elle rougit. Ça la rend jolie. Elle me laisse pour rejoindre sa classe. En plus de la fatigue de la nuit, voilà que je pense à elle pendant le cours. Elle est mignonne quand même. De petits seins, mais mignonne. Enfin la sonnerie. Il y a longtemps que je n’ai pas été aussi mauvais. Tiens voilà la nunuche du premier rang. Dans la famille Gros seins, elle par contre, elle doit être la reine. Mais derrière ses lunettes, ça gâche un peu tout. Moi ? J’ai dit ça moi ? Que Kiev était la capitale de l’URSS en 1988 ? C’est une erreur en effet, je rectifierai cela au prochain cours. Merci, Mademoiselle. Ouf, je m’en suis vite débarrassé. Je vais aller en salle des profs prendre un café avant d’attaquer la deuxième partie de la matinée. En montant les escaliers, j’aperçois Audrey et son tailleur qui monte quelques marches devant moi. Je l’appelle. Elle se retourne, me sourit en rougissant : — Tu as cours cette après-midi ?— Non, et toi ?— Non plus. Tu m’en veux si je t’invite à manger à la maison ? J’ai des restes d’hier soir et on pourra discuter de nos malheurs conjugaux. Ça ...
... ressemble à une invitation en règle ou je ne m’y connais pas. J’accepte avec plaisir. Les deux dernières heures de cours vont passer vite. Enfin midi. Je me précipite au lieu de rendez-vous. J’ai hâte de revoir Frédéric. Il a hanté mes pensées toute la matinée. Le voilà, il me sourit. Oh, il a un bouquet de fleurs à la main. Pour le bureau, pas question de l’amener à la maison. On s’embrasse. Il me demande dans l’oreille si j’ai mis une nouvelle culotte. En rougissant, je lui réponds que non. Le repas me semble long et je suis fébrile comme une adolescente. Il me paie la note, grand seigneur. Je lui dis que j’ai quelques minutes avant de reprendre le boulot et que j’ai envie de marcher avec lui. Il me répond qu’il a un rendez-vous à 14h, mais que si j’accepte, je peux le raccompagner à sa voiture dans les parkings souterrains. Il y a plus romantique, mais je veux être AVEC lui. Nous voilà dans l’escalier qui descend au -2. Il me serre dans un coin sombre après les caisses de paiement. Je n’en peux plus, j’ai autant envie de lui que lui de moi. Il glisse rapidement sa main sous ma jupe pour caresser mon sexe, mon petit buisson comme il dit. Ce sexe qu’il a honoré toute la nuit. Oui, caresse-moi encore. Oui, lèche-moi, mon Frédéric. Il semble comprendre mes pensées, il s’accroupit devant moi, relève ma jupe et approche son visage. Je sens son souffle chaud se mélanger aux courants froids d’un parking d’hiver. Quand sa langue se pose entre mes lèvres, je crois jouir immédiatement. Il ...