1. Lendemain de tempête


    Datte: 23/08/2017, Catégories: fh, extracon, parking, telnet, cérébral, noculotte, Oral nopéné,

    ... me rend folle. Jamais je n’aurais imaginé me faire lécher, peut-être baiser dans un parking souterrain de ce centre commercial. Oui, Frédéric, oui. Oh, oui, il caresse mes fesses, s’insinue entre elles. Je ne peux pas lui résister. Je n’en peux plus. Je fonds littéralement quand il me doigte le petit trou doucement. Un coup de langue plus fougueux, plus appuyé me fait entrer en transe. Je ne peux retenir des petits gémissements. C’est trop bon. Il est merveilleux. Il me semblait bien l’avoir reconnue. C’est donc avec ce bellâtre qu’elle devait être hier soir quand elle m’a demandé de mentir à Thierry. Pauvre Thierry, baladé par une nana comme ça. Je l’aime bien Evelyne, mais ce qu’elle fait voir à Thierry est dur à accepter. Si encore il était comme mon Sébastien. Mais non, Thierry, c’est un gars doux, sensible, qui s’occupe à merveille de ses enfants et je suis sûre de sa femme. Vu la froideur de ses réactions les quelques fois où je l’ai vu et où j’ai tenté de le draguer, juste pour voir, il ne doit même pas avoir de maîtresse. Le pauvre. Et elle, elle s’envoie des amants à la pelle. Son agenda Outlook au bureau est truffé de rendez-vous privés. Sûrement des amants. Les voilà qui sortent de ce restaurant, je vais les suivre un peu. Je crois bien, ma petite Evelyne, que je vais bientôt m’occuper de ton petit mari. Quand je lui apporterai des preuves, visuelles, de ton infidélité, je suis sûre qu’il appréciera une jolie femme pour le consoler. Tiens, ils s’arrêtent dans ...
    ... l’escalier. Oups, j’ai failli être repérée. Méfiance et silence. Oh non, il ne va pas la baiser là, dans ce sordide escalier tagué. D’où je suis, je vois bien sans pouvoir être vue. Il la doigte, c’est sûr. Oh, mais le voilà qui s’accroupit. Il ne va pas la lécher là quand même. Si !! Oh, je ne tiens plus. Heureusement que j’ai mis ce tailleur aujourd’hui. Hummm, c’est bon de la voir se dandiner. Je ne peux pas trop en voir, mais j’imagine, c’est encore mieux. Ne pas oublier quelques photos avec mon portable. Clic, Clac. Ma Michelle, tu es la plus sournoise des amies. Vite, remontons avant de se faire surprendre et avant de perdre la tête. Hummm, quel sexe appétissant ! Elle est vraiment divine cette fille. Merci la neige pour cette rencontre. En plus, elle est chaude sans être vulgaire. Pas comme cette conne de Caroline. Et elle me donne le peps. Hier soir, c’était l’énergie pour larguer Caroline. Ce midi, pour envoler mon coup de blues. Finalement, ma vie n’est pas si mal. Allez ma belle, encore quelques coups de langue et tu vas fondre dans ma bouche. Oui, vas-y, lâche-toi ma belle, jouis. J’adore ce moment où les femmes sont vulnérables. Et vu leur appétit quand elles sont avec moi, je pense qu’elles aiment aussi. Je me relève pour l’embrasser, réajuste sa robe pour masquer son trésor. Elle me glisse des « Je t’aime » dans l’oreille. Je lui réponds « Moi aussi je t’aime » Ce qui est vrai finalement… Voilà ce maudit portable qui me dérange dans ce moment tendre. Numéro masqué. ...