1. Mon Sicilien (4)


    Datte: 30/04/2019, Catégories: Divers,

    Je le prends dans mes bras comme un gros bébé. Il se met à pleurer de sa bêtise, je ne peux lui en vouloir. Ce n’est que vers minuit que le téléphone sonne. Mon Fred s’empresse de répondre, l’affaire était faite. Toujours en dialecte, il donne ses instructions et raccroche. Près de moi, il caresse ma joue douloureuse, l’embrasse, une main entre mes cuisses. Il me fait promettre de lui rendre sa gifle s’il recommence. Je me suis résolue à le lui jurer en sachant que jamais je ne porterai la main sur mon Seigneur et Maître, sauf pour caresser son corps. Nous avons passé la nuit sur le tapis du salon. Une nuit magique faite uniquement de baisers tendres, de caresses affectueuses. Si nous n’avons pas ressenti d’orgasme, nous avons perçu quelque chose de plus fort encore, de l’amour. Notre couple est devenu plus soudé que jamais. En me réveillant au petit jour, je me suis assise longuement sur un fauteuil à le regarder dormir. Paisible, il sourit, il me semble même qu’il rêve, mais à quoi, moi ou Alberto qu’il doit imaginer dans une sordide geôle plongée dans le noir, lourdement entravé. Le soleil levé, je nous prépare un copieux déjeuner. Alors qu’il s’étire, baise mes pieds, il remonte le long de mon corps, il me pousse sur une chaise, écarte mes cuisses, me disant qu’il n’y a pas meilleur déjeuner que mon suc d’amour au petit matin. Dieu, il me fait vibrer de tout mon être, sa langue me fouille devant comme derrière, je vais exploser. Il accompagne sa bouche de ses doigts ...
    ... experts. Quand il arrive, il me terrasse, je glisse sur le sol comme du chocolat fondu. Il me lèche encore, je jouis encore. Quand il me pénètre, que son sexe but au fond de mon vagin, je jouis encore. Sa bouche sur la mienne, c’est le miel de ma vie. Je jouis sans fin. Quand il me remplit de sa semence, c’est une bénédiction qui coule en moi. Jamais homme ne fut aussi doux, aussi tendre et délicat que mon Fred. Quand il me soulève, m’assoit sur ma chaise, sa bouche est soudée à la mienne. Deux mots sortent de ma bouche, c’est tout ce que je peux lui dire sur le moment : Mon amour. Je peine à manger, boire. Il m’a épuisée. Encore ce maudit téléphone, cette fois c’est Isabelle, elle est paniquée, son Alberto a été enlevé, la police est chez elle. Mon Fred demande à parler au responsable de la police. La discussion dure, dure, elle s’éternise même. Quand il me revient, il est tout sourire en levant les poings au ciel. Il me raconte tout, Isabelle ne peut payer la rançon vu qu’elle ne peut accéder aux comptes de son mari. En plus, la police a découvert le dénuement d’Isabelle et de ses enfants. Du coup, la police a emmené les enfants et Isabelle dans une de leurs caches. Fred doit la rejoindre pour la suite des opérations. Alors qu’il s’habille, avant de me quitter, il me donne sa carte de crédit. - Je ne vais pas revenir avant quelques jours, je dois discuter avec Isabelle. Fais-moi plaisir ma chérie, en t’achetant ce que tu désirs, le crédit est illimité. - Mais je ne veux rien de ...
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