1. Mais oui, c'est elle 6


    Datte: 23/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... la main à la compagne docile, la tourne vers la porte d'entrée du salon; je les vois de biais . Le séducteur se place dans le dos de la femme, l'encercle de ses deux bras, se colle à sa croupe, s'y frotte. Quand les seins sont emprisonnés dans les mains viriles, ma femme glousse à la fois de surprise et de plaisir; tout son corps est secoué d'un frisson qui ne m'échappe pas. Greg embrasse la chair de la nuque, embrasse l'épaule qu'il dénude. Elvire se tord contre son ventre. - Ma chérie (Eh oui ! Il prend des risques de langage ) te souviens-tu ? Pour voir ta poitrine je t'avais donné cinquante euros. Vois ces billets. Pour éprouver la même émotion, je t'offre le premier. S'il te plaît, laisse-moi t'enlever ta blouse immaculée. Tourne-toi, je la déboutonne. Oh! Tes tétins s'évadent des balconnets de ton soutien gorgr. J'ai envie de les baiser. Le voilà penché sur les seins. Elle ferme les yeux, penche la tête en arrière, soupire, ouvre les lèvres et émet un râle excitant, tête toujours rejetée en arrière. Greg la contourne, me la présente de dos. Je vois ses mains descendre le long du dos, dégraffer, au passage, si léger le soutien-gorge, le lancer sur un fauteuil et continuer la chute des mains jusqu'à la lisière de la jupe. L'une remonte le tissu et découvre au milieu des magnifiques rondeurs du fessier la ligne rouge de dentelle qui se perd dans le sillon des fesses et disparaît vers l'avant. Il bloque le corps à hauteur des hanches et s'amuse à caresser la croupe. Le ...
    ... baiser sur la bouche reprend puis l'homme va téter les seins mignons. Elle geint, il grogne comme un goret.Un nouveau déplacement me montre une main qui passe entre les deux ventres. Elle se glisse sur le pubis, cherche et enfin se fixe sur la fine dentelle. Le gousset subit la pression du majeur. Avec l'index il se met à tourner lentement; il a découvert le clitoris et l"échauffe. Elvire se contorsionne autour de ces doigts. Ils s'embrassent avec frénésie. Il n'y a plus de sursaut ou de recul; tous deux sont conquis, se livrent maintenant à fond. Deux mains appuient sur les frêles épaules féminines et tout naturellement Elvire s'agenouille devant la braguette. Elle baisse le zip, tire le pantalon vers le bas, tire le caleçon sur les mollets et se retrouve nez face à la verge horizontale, cette queue qu'elle a décidé de mieux voir, cette fameuse bite à toucher enfin, à branler vraiment, ce pieu à se faire mettre au coeur de son sexe, cet écouvillon qui devra lui raboter les parois du vagin. Elle admire : - Oh! Qu'il est beau ! Qu'il est gros ! Je peux... - Il te plaît ? Bien sûr, tu peux toucher. Oui, les couilles aussi ! C'est mieux que celle de ton Jean, hein. - Mieux ? Je ne sais pas. C'est différent, aussi long, plus épais et de forme différente. On dirait un obus. Et tu n'as plus de prépuce. Tu es circoncis? - Oui, soupèse le paquet. Tu as envie de l'embrasser ? Vas-y. Je n'attends que ça. Attends, je m'assieds sur le canapé, viens entre mes jambes. Oui, comme ça , avec les ...