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Mais oui, c'est elle 6
Datte: 23/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
... l'engloutissant la femelle en chaleur étouffe ses gémissements de jouissance. Que le temps est long. Par bonheur le maniement de mon smartphone, l'enregistrement des preuves irréfutables de mon cocuage me font oublier l'étendue de la tromperie. Quand ensuite Elvire va se placer au-dessus du gros pieu, ajuste son vagin sur le gland, se penche vers les pieds de Greg et glisse lentement du gland vers le scrotum, je vois son corps envahi s'unir complètement à celui de l'amant. C'est fait, je suis cocu. Elle lui appartient même si elle se plaint de la douleur provoquée par le fort écartèlement de son vagin jamais aussi distendu. - Tu as mal ? Un peu ? Ca va aller. Repose toi un instant. Après nous bougerons. Je t'adore. Tu aimes ? - Oui, mais qu'est-ce que tu es gros et dur. -On reprend. Lève top un peu, retombe, bouge. C'est bien, va Ca a duré une heure encore. Elvire s'est balancée sur l'essieu planté en elle, elle s'est essoufflée, toujours pénétrée mais à cheval et tournée vers le visage de ce partenaire nouveau. Elle l'a reçu en levrette, elle a été défoncée pattes en l'air, pieds sur les épaules de Greg ou pieds en appui sur les reins de ce mâle en rut qui la chevauchait furieusement. Ce quinquagénaire a fait preuve d'une incroyable endurance, lui a arraché je ne sais combien d'orgasmes. Dans le feu de l'action elle a crié "j'aime" ou "je t'aime", comme folle d'amour, comme transportée dans un monde splendide où le plaisir seul règne constamment. Elle a demandé grâce, elle ...
... n'en pouvait plus. - Tu m'as épuisée. Ca commence à brûler. Pitié. -Alors, a-t-il demandé, ça t'a plu? Tu as aimé ? C'était mieux qu'avec lui ? Reconnais que je suis le meilleur ! - C'était fort, c'était fameux. Tu m'as comblée. Tu es formidable - Donc tu vas divorcer et m'épouser. Je te donnerai du plaisir, je te donnerai une situation, tu seras riche, tu auras tout ce que tu voudras. Ce soir tu lui dis que tu le quittes et tu viendras dans mon lit pour une nouvelle fête. Tu veux que je lui dise que tu veux vivre avec moi ? Je peux le faire tout de suite, si tu le veux. - Mais Greg, Jean est mon mari. Je me suis liée à lui jusqu'à ce que la mort nous sépare. L'argument est trop faible pour convaincre l'amoureux: . - Des mots, rien que des mots! Cela n'a pas de sens... Puisque c'est moi qui te fais jouir vraiment et que lui ne me vaut pas. Quitte le, épouse-moi. Rien moins que le mariage. Greg sort l'artillerie lourde, veut frapper fort et gagner. - Greg, ce n'est pas ce que j'ai dit. Oui; tu es un amant fantastique, mais mon Jean est un excellent mari. Jamais je ne quitterai l'homme qui me rend habituellement heureuse depuis notre mariage. Le sexe est important, mais ce n'est pas tout, et, à la réflexion, Jean n'est pas aussi défaillant que tu le dis. Sa verge est moins épaisse que la tienne, mais il sait s'en servir pour mon plus grand bonheur. Non, je ne veux pas divorcer, quelles que soient tes qualités amoureuses. Que diraient les gens ? Ma réputation, mon métier, mes ...