1. Une secrétaire modèle


    Datte: 01/05/2019, Catégories: ff, Collègues / Travail Oral Lesbienne

    ... touché une corde sensible dans sa mémoire… Oui ! Elle avait été « avec une femme ». Elle venait de rencontrer Didier, et la belle Rosa, sa voisine, mariée et mère de famille, lui avait fait découvrir les plaisirs de Lesbos six mois durant – et presque quotidiennement ! Elle n’en avait jamais rien dit à personne et se garda une fois encore de la confidence. — Je comprendrais très bien que vous soyez gênée, poursuivit Sylvie ; et moi, je ne serai pas offensée si vous l’êtes.— Non, non, pas du tout ! Je ne l’avais jamais vraiment envisagé, voilà tout. Mais je dois dire que… eh bien… que je suis assez curieuse. Maintenant, nous pouvons en discuter.— Bien ! Eh bien, nous avons une heure pour discuter. Alors pourquoi ne pas vous laisser aller à votre curiosité ? Tout en parlant, Sylvie passa un bras autour des épaules de Corinne et l’embrassa tendrement. — Viens, ma chérie, chuchota-t-elle. Et leurs lèvres de nouveau se rencontrèrent. Sylvie savait que désormais Corinne n’opposerait plus la moindre résistance, sinon, éventuellement pour le principe, pour le plaisir de pouvoir céder, une fois que les flammes d’une incontrôlable luxure auraient envahi son corps. Les lèvres tremblantes de Corinne étaient à la recherche de la bouche de Sylvie qui ouvrit ses lèvres et passa sa langue légèrement sur les lèvres de la brunette, dardant l’intérieur de sa bouche. Un désir incoercible l’avait envahie, flottant dans son ventre tandis qu’elle sentait les lèvres et la langue de Sylvie ...
    ... embrasser son visage, son cou, son décolleté, tandis que ses mains caressaient ses fesses. Des souvenirs brûlants l’envahissaient. Elle aimait tant qu’on la caresse – elle aimait tant qu’une femme la caresse !… Une merveilleuse sensation s’empara de son bas-ventre. Formidable ! Magnifique ! Septième ciel ! — Maintenant, ma chérie, murmura Sylvie, j’attends de la secrétaire de mon mari qu’elle me soit également dévouée et attentionnée. Tu es désormais mon assistante personnelle ! Sylvie lui enleva ses lunettes et voulut défaire son chignon. Corinne eut un sursaut de pruderie. — Pas ici, pas maintenant ; si on nous voyait…— Ici et maintenant. Et personne ne nous voit. Et je veux tes seins et ta chatte et ton cul !— Oh, Sylvie, qu’est-ce que vous me faites faire ! Qu’est-ce que tu me fais faire !— Rien d’autre que ce que tu as toujours désiré, belle Corinne ; et pour ce tutoiement, laisse-moi te donner un autre baiser. Et elle l’embrassa de nouveau – et Corinne la laissa défaire ses cheveux : elle voulait Sylvie. Elle aussi voulait ses seins, et sa chatte et son cul. Et elle voulait sa langue et ses doigts sur son corps – sur ses seins, dans sa chatte, dans son cul… Sylvie remit une main sur les fesses de Corinne, et de l’autre déboutonna le haut de sa robe tandis que la jeune femme, machinalement, en défaisait le bas. En quelques secondes, le vêtement fut sur le bureau et Corinne debout devant elle, en dessous d’un tulle noir, très fin et quasi transparent qui ne cachait rien de son ...
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