Une secrétaire modèle
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
Oral
Lesbienne
... anatomie intime, de sa toison noire impeccablement taillée, et de ses tétons pointant fièrement au milieu d’aréoles sombres et granuleuses. — Mmm ! Joli ! Moi qui croyais que tu ne portais jamais rien sous tes vêtements ! Sylvie avait fait allusion à cette garden-party où elle l’avait rencontrée et où, cédant aux exigences de Didier, elle était restée entièrement nue sous sa robe. Corinne protesta. — C’était exceptionnel ; c’était Didier qui voulait, c’était…— C’était ravissant, l’interrompit Sylvie. Et ça l’est toujours. Et si les plus beaux bijoux méritent les plus beaux écrins, il n’en demeure pas moins que ce sont les bijoux qui nous fascinent. Avec empressement, elle passa la main dans le dos de Corinne, dégrafa son soutien-gorge qui rejoignit la robe. Ses seins libres s’épanouirent majestueusement. Sylvie sentait sa toute nouvelle assistante haleter. Elle se dégagea pour contempler Corinne, se délectant du spectacle. — Voilà une vue merveilleuse, chérie. De beaux gros nichons comme je les aime, bien lourds et bien fermes… Mmm. Délicieux. Oh, je veux te déguster encore et encore.— Je suis à toi, Sylvie, hoqueta Corinne. À toi ! Toute à toi ! Corinne apercevait son reflet dans une vitrine du bureau, cheveux dénoués, presque nue… Cela lui arrivait-il vraiment ?« Ce ne sont pas mes seins ainsi exposés,pensait-elle.Je dois être en train de rêver… Oh, mon Dieu, quel rêve adorable ! Elle regarde mes seins ! Elle les touche ! Elle va les embrasser ! Oh ! C’est impossible ! » ...
... Sylvie emprisonna un mamelon brun, gonflé et durci de ses lèvres, le suçant, l’avalant à pleine bouche, et Corinne sentit une nouvelle poussée de désir dans son sexe. La tête lui tournait. Elle appuya les paumes de ses mains sur le plateau du bureau en poussant un petit gémissement qui attisa plus encore l’ardeur de Sylvie : sa bouche quitta le mamelon tout dressé et luisant de salive. — Tu es délicieuse, chérie, souffla-t-elle avant que leurs lèvres ne s’unissent pour un nouveau baiser brûlant. Sylvie pressa Corinne contre le bureau, au risque de la basculer dessus et de faire chavirer tout ce qui se trouvait sur le plateau. Corinne se cramponna, et Sylvie, s’appuyant d’une main sur le meuble, plongea résolument son autre main dans la culotte de la jeune femme, glissant ses doigts dans la toison humide et chaude jusqu’à sentir ses lèvres trempées. Elle pressa légèrement la chair souple, cherchant avec son pouce son clitoris. Oui ! Là ! Le premier contact avec une vulve inconnue était toujours très troublant pour Sylvie ; sa respiration s’accéléra à la pensée que bientôt ses doigts couleraient dans son vagin. Mais pas encore ; patience ! Elle se sentit mouiller. Il s’agissait en tout premier de s’occuper de ses seins, de les lécher, de les sucer, de les téter… Corinne haletait sous l’effet de ces doigts étrangers qui exploraient sa culotte. Elle était trempée. Ses yeux se fermèrent et une vague de bien-être l’emporta. La sensation était passionnante, et en définitive assez ...