Massage
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
ff,
init,
... continue de me masturber, ou appuie sur mon ventre ou encore presse ma poitrine tour à tour. Je sais que je vais jouir rapidement, trop rapidement. J’ai conscience maintenant que sa blouse est ouverte, je serre sa hanche nue. Je sens sa culotte sous ma main. Je me sens partir. Je mords la peau de mon poignet, fort, fort. Je soulève mes reins, mes hanches. Je la serre dans ma main, j’ai dû lui faire mal. L’orgasme me prend. C’est presque de suite douloureux. Je lève la tête, lâche sa hanche et pose ma main sur la sienne entre mes cuisses pour la retenir. Elle ne bouge plus, reste immobile. Je retombe sur la table, épuisée, ivre du plaisir qui a traversé mon corps. Je cache mes yeux, mon regard de mon bras gauche toujours. Je suis morte, vidée. J’ai la bouche entrouverte, je reprends doucement ma respiration. Je crois que je tremble un peu. Elle ne bouge plus ; ses mains, toujours sur moi, sont immobiles. Je ressens ses lèvres qui se posent sur les miennes, sa langue contre la mienne. Le baiser ne dure qu’un bref instant. Je reste immobile. Je l’entends me murmurer : — Excusez-moi, Andrea, mais je n’ai pas pu me retenir. Vous êtes si jolie et désirable ainsi… Je réponds par un long soupir, reste immobile. Ses lèvres, une nouvelle fois, se posent sur les miennes. Je garde les yeux clos. Lui caresse les cheveux. Réponds à son doux baiser. C’est fini. Elle se relève. Je retiens une légère plainte alors qu’elle me libère doucement du leurre toujours dans mon ventre. Je me soulève ...
... sur la table pour voir. Elle me sourit. — Je vous laisse prendre une douche. Vous avez encore le temps, Andrea. Je vous sers un jus d’orange ?— Je veux bien, je vous remercie. Elle me laisse seule et sort, emportant avec elle le bol contenant l’huile ainsi que le gode. Je suis vidée ; je ne m’attendais pas à jouir de cette façon, à ressentir un orgasme aussi fort. Je me lève à regret. J’aurais aimé rester lovée sur la table plus longtemps, m’endormir contre elle. La douche me fait un bien fou. Lorsque je sors de la salle de bain, les rideaux ont été rouverts. Mes vêtements pliés sont alignés sur la table de massage. Sur la commode, une soucoupe, avec dessus un verre de jus d’orange. C’est frais, délicieux. Je me rhabille. Je me sens bien, détendue. Monique pénètre dans le salon. Elle me sourit. Elle a refermé sa blouse. — Cela s’est bien passé pour vous, Andrea ?— C’était parfait. Très agréable et très stimulant. Je lui donne son argent sans regret. Elle m’accompagne jusque devant la porte d’entrée. — Vous reviendrez ?— Je pense que oui. J’ai, comment vous dire… beaucoup aimé.— Pensez à réserver par téléphone plusieurs jours à l’avance. Je sors, après un dernier sourire. Je voudrais échanger un dernier baiser. Mais je n’ose pas. Je me sens légère. Je regarde l’heure : moins vingt. Il lui reste cinq minutes avant une nouvelle cliente. Je regarde dans la rue, mais ne vois aucune femme qui semble attendre. À moins que la petite blonde assise devant un café sur une des tables et ...