Le chemisier rose de Charlotte
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
neuneu,
Masturbation
Oral
pénétratio,
inithf,
... est dehors. Je ne la vois plus. Je suis devant Charlotte, je parcours des yeux son chemiser rose, et je m’arrête juste en dessous du cou, là où l’ouverture du col laisse apercevoir une fente épaisse et ombragée qui marque le début de ses seins et disparaît rapidement sous le chemisier. Charlotte me dit : — Qu’est-ce qui te plait dans la vieille Charlotte, mon grand ? Plus aucun homme ne la taquine plus ! Même dans la rue, le bus ou le métro, elle n’attire plus le regard des clochards, des travailleurs fatigués, des veilleurs de nuit rentrant chez eux, des immigrés de tout genre… Allons mon grand, tu rentres dans ta chambre, sinon ta mère va nous engueuler si elle nous fait une de ses visites surprises, tu le sais bien ça, Zozou, allons, vas-y dans ta chambre. Elle tend la main en direction de l’escalier, je comprends qu’il faut que j’aille dans ma chambre. Je me précipite pour monter. Ma queue fourmille. Je m’installe sur mon lit et veux dormir. Mais ça se presse entre mes cuisses, mon truc a gonflé énormément et sort du slip. Coincé sous la ceinture du pantalon, il me fait mal. J’ouvre la ceinture. Il se libère, vacille légèrement, se gonfle une peu plus et se redresse. Je me sens soulagé. Je le prends dans ma main droite, à la base. Je le serre entre mes doigts et sens sa chaleur. Je serre plus fort, le plaisir augmente, je serre de plus en plus fort. La boule au bout devient rouge sang, sa membrane fine est tendue, ses petites rayures se sont dilatées. Mon bassin se ...
... crispe, une onde me traverse le corps des pieds jusqu’à la tête. Je fourmille de partout. Je desserre la main et respire trois grandes bouffées. Je crache trois fois dans ma main, disperse avec le pouce la salive sur la paume et les doigts, puis reprends ma bite. Je coulisse la main le long de la tige, je varie le rythme et sens le bien-être que cela me procure. Je ferme le pouce sur l’index et forme un anneau dans lequel je coince le bout. Je suis inondé de sensations agréables. Je fais divers petits mouvements sur cette petite boule gonflée, j’éprouve un grand plaisir, je coulisse l’anneau de haut en bas, je le tourne dans un sens, puis dans l’autre. Puis je reviens à la tige, puis au gland, puis à la tige, puis au gland. Ça se presse de plus en plus, ça fourmille. Soudain, je sens aux genoux une grande crispation, une force qui se développe à l’intérieur, difficile à localiser, elle se bouscule, veut sortir. Voilà le jet chaud et visqueux qui jaillit comme de la lave, culbute à un demi-mètre en haut, puis redescend partout sur le lit, sur mes cuisses, sur mes vêtements. Deux gouttes sur mon visage. Je gémis, je gronde. Une violente sensation de satisfaction m’assaille, je pense à ma mère qui va s’énerver contre moi lorsqu’elle découvrira les traces de ma jouissance. Elle me privera certainement de télévision. Elle me privera de gâteau au chocolat. Il me faut rapidement nettoyer le liquide éparpillé partout. J’ouvre la porte et me dirige vers la salle de bain, je cherche une ...