A la maison
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
fh,
amour,
pénétratio,
jouet,
confession,
La chaleur me saute au visage, les lunettes se couvrent de buée. Cela fait du bien de retrouver le chaud après cette longue promenade dans ce froid glacial. Les chaussures retirées, la veste, le bonnet et les gants enlevés, je pousse la porte du couloir. La chambre est fermée. Lucie doit faire une mini-sieste. Cela lui arrive, surtout les jours de gym où exercices et papotages avec ses amies la fatiguent. Je referme la porte, lance un café et vais le déguster devant la télé qui, à cette heure de l’après-midi, nous gave de reportages que seuls les retraités comme moi ont le temps de regarder. Je ne vous parle pas des pubs, sur les douches italiennes, les poignées, les ascenseurs d’escalier, sans oublier les couches pour vieux. Merci ! Nous, pour l’instant, n’avons pas besoin de tout cela. J’ai dû m’assoupir mais j’entends tout de même des « Chéri… » qui proviennent de notre chambre. Je m’y dirige et découvre ma femme, Lucie, en petite tenue qui me prend tout de suite à partie. — Tu ne trouves pas que j’ai grossi ? Regarde, cette culotte me boudine. Ce soutien-gorge me serre. Ma poitrine tombe. C’est affreux. J’ai donc le charmant spectacle de ma femme uniquement revêtue de l’ensemble que je lui ai acheté il y a à peine trois mois. J’avais vu le modèle exposé en vitrine et il m’avait tout de suite tapé dans l’œil. Après une recherche dans ses sous-vêtements pour découvrir les bonnes tailles, je me suis précipité pour les acheter. C’est un peu coquin, en dentelle noire ...
... transparente, avec le soutien-gorge qui moule parfaitement ses petits seins fermes, les tétons doucement écrasés par le fin tissu. La petite culotte aussi est transparente, avec une coupe qui met en valeur ses petites fesses. Seule la partie intime est opaque. Quel dommage… Ce n’est pas la première fois que je lui achète des sous-vêtements. Il m’est même arrivé d’en commander certains sur le net, sur des sites spécialisés ; mais à chaque fois le résultat n’était pas au rendez-vous. Les photos aguicheuses montrent les produits sur des corps que seule la chirurgie peut sculpter. Seins, à la fois fermes, généreux et défiant la pesanteur. Fesses cambrées comme des héroïnes artificielles de scènes érotiques. J’avais aimé le soutien-gorge, fendu pour laisser pointer les tétons. Mais il était trop grand. Celui à demi-bonnets, rehausseur, allait mieux, bien que trop grand. Il permettait pourtant de laisser poindre ses tétons. Vous avez compris que je suis un fan inconditionnel des seins, des tétons de ma femme. Je les adore… Pour remédier aux inconvénients des tailles, il aurait fallu que j’entraîne ma Lucie dans une boutique spécialisée, mais je n’osais pas. Donc elle est devant moi, désirable, provocante, avec ses airs d’innocente. Bien sûr, je la rassure, affirme qu’elle n’a pas pris un gramme. Lui demande de tourner devant moi, de se pencher. Je l’aide à ajuster une bretelle, replacer la petite culotte, vérifier que le tissu ne se glisse pas dans son intimité. Ah ! La petite culotte… ...