A la maison
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
fh,
amour,
pénétratio,
jouet,
confession,
... l’aide à faire descendre sa petite culotte. Elle est nue, face à moi. Je suce ses tétons. Je glisse un doigt dans son intimité, découvre le début d’une humidité prometteuse. Elle se baisse, s’agenouille dans la position d’adoration que tout homme attend. Rêve de jeunesse ? Rêve de macho ? Rêve de plaisirs nouveaux ? Peu importe. Naturellement, ses lèvres se dirigent vers ma verge. Moment divin. Mon gland disparaît et la peau si sensible en cet endroit apprécie chaque mouvement. Les lèvres qui glissent ! La salive qui vient. La langue qu’elle garde en réserve et qui ne lèche que lorsque je dis « Avec la langue. ». Elle me suce. Elle me pompe. Je n’ose demander trop fort ce privilège de peur de la faire fuir, me jugeant pervers et dépravé de demander une telle caresse. A-t-elle déjà échangé des confidences avec ses copines sur leurs habitudes avec leur mari ? Les femmes ont la réputation de parler entre elles de ce genre de chose alors que, nous les hommes, étrangement, sommes beaucoup plus réservés sur ce qui se passe dans notre lit. Ou alors, que des fanfaronnades qui sont censées montrer notre virilité. Je reconnais son envie à la façon dont elle bouge et ondule du bassin pendant que sa bouche s’active à me caresser. Moi, je me penche un peu en arrière pour profiter du spectacle de ses lèvres qui me sucent. Mais je reviens pour m’emparer à nouveau de ses seins que je presse pour en faire jaillir les tétons que je tords consciencieusement, attendant le gémissement de ...
... plaisir que la bouche occupée par mon sexe transforme en grondement. Je me dégage pour attraper le jouet sexuel qu’elle aime. Ce jouet – comme les autres – c’est moi qui l’ai acheté. À leur vue, Lucie s’est écriée à chaque fois « Mais pourquoi tu achètes cela ? On n’en a pas besoin ! ». L’hypocrite… Si, lors de nos ébats, je lui propose d’en sortir un, elle accepte presque toujours, mais en disant « Si tu veux. ». Comme si elle n’y prenait pas de plaisir ! Moi, j’aime bien ces accessoires ; je les trouve terriblement érotiques. Maintenant que j’ai le jouet en main, je vais m’agenouiller derrière Lucie restée en place, face au bord du lit que je viens de quitter. Alors que je me place tout contre elle, mon sexe dur et droit vient se caler contre ses fesses. Je lui tends le jouet rose pour qu’elle le suce un peu et le recouvre de salive. C’est moi qui le conduis à la porte de sa chatte. Il entre facilement et glisse en elle avec toujours un petit cri de bienvenue. Je déclenche le vibro de la partie qui est maintenant plaquée contre son clitoris. Voilà, c’est parti. Il ne me reste plus qu’à laisser l’autre extrémité du gode reposer sur le sol. À elle de se donner du plaisir avec. Elle peut choisir la profondeur avec laquelle le jouet la possède en fléchissant ou écartant plus ou moins les jambes. Moi, je suis au spectacle, toujours derrière elle, toujours ma verge dressée contre ses fesses et qui quelquefois se glisse sous elle lorsqu’elle remonte un peu trop haut. Elle ondule. Ses ...