1. La folie du pleutre 9


    Datte: 02/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... salaud. J'ai à nouveau sorti ma queue. Je n'en peux plus. Marion est heureuse à l'évidence. J'avais bien imaginé cette scène mais pas sa puissance érotique où jalousie et excitation sexuelle se mêleraient avec une telle intensité. Monsieur David présente une érection qui témoigne qu'il a un gros sexe. Je vois bien que ma douce évite de regarder en cet endroit. Mais comment peut-elle l'ignorer tant la bosse est importante. Je le vois même à un moment, alors que Marion lui tourne le dos, porter sa main à sa braguette pour remettre en place son membre dans un geste obscène jambes écartées. Cela ressemble à un signe destiné à ses complices signifiant que la petite le fait bien bander. Une humiliation de plus. Ce type n'a aucune pudeur ni dignité. Elle est encore toute surprise s'abandonner à ces jeux qui ne lui ressemblent pas. Puis soudain, la farce s'arrête, Marion reste figée devant le miroir. A-t-elle vu au travers ? Un frémissement ? Une lueur ? En tous cas sans dire un mot, elle retourne dans la cabine avec la robe avec laquelle elle est venue. Tire le rideau et on devine qu'elle se rhabille. Sa culotte est restée dehors, son soutien gorge aussi. Quand elle reparait, elle se dirige vers moi pour me demander de rentrer. Visiblement, elle est choquée, abattue. Elle est nue sous sa robe quand elle enfile sa petite veste. Toujours coquée, elle garde le regard baissé, se garde bien de regarder son peloteur droit dans les yeux. Je ne comprends pas cette réaction mais je me sens ...
    ... malgré tout soulagé. Monsieur David comprend vite que la situation a basculé. Il se doute peut-être qu'elle s'est aperçue de quelque chose. Obséquieux et beau joueur, il me donne les robes et les sous-vêtements. - Rassure-là. Il faut que vous reveniez. C'est trop beau. Elle est trop bonne ta petite fée. Il nous raccompagne à la porte. Au moment de la saluer, je vois qu'il glisse ce que je reconnais comme une carte de visite directement dans la poche de sa veste sans qu'elle semble s'en rendre compte. Nous retournons au parking sans échanger un seul mot. Je n'ose pas l'entreprendre redoutant sa réaction. C'est dans l'auto avant de démarrer qu'elle rompt le silence. - Tu m'aimes toujours ? Elle s'effondre en sanglots profonds, toute tremblante. Heureux comme pas possible je la prend dans mes bras et tente de la rassurer. Mais rien n'y fait. - Bien sûr mon amour. Je t'aime et t'aimerai toujours. Je suis soulagé. Pas elle. - Explique moi ce qui t'arrive. Elle n'arrive pas à parler et redouble de sanglots. Elle semble inconsolable. Je lui caresse la joue, les cheveux pour la calmer. Enfin, elle articule : - J'ai honte. Je me suis conduite comme une catin, une vulgaire pute. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je sais que tu ne me pardonneras jamais. - Mais non, mais non ! Tu as été superbe. Je suis fière de toi. Et c'est moi qui t'ai demandé de le séduire, non ? C'est vrai que ta conduite a dépassé mes espérances, mais je suis content. C'est fou combien j'ai été excité de te voir en ...