1. La folie du pleutre 9


    Datte: 02/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sous-vêtements sexy. Là, je fais exprès de ne pas parler de la scène où elle s'est abandonnée aux caresses de cet abruti et que je l'ai vue fondre à l'embrasser plein bouche et se laisser doigter la chatte sans protester. Il lui faut plusieurs minutes pour resurgir de ses larmes. Elle me sourit enfin. Elle se penche vers moi pour m'embrasser. Quand ses lèvres se posent sur les miennes, je ne peux retenir un petit geste de recul. Je revois la langue de Monsieur David jouer avec la sienne. Et sur ses lèvres, je sens l'odeur de l'autre. Bien sûr elle saisit mon geste et mon refus à l'embrasser et aussitôt les larmes reviennent, plus fortes. C'est vrai, je perçois les conséquences perverses de son abandon de tout à l'heure. Je l'aimerais moins ? Cette idée me bouleverse. Non, ce n'est pas possible. Je décide de n'en rien dire et de la rassurer. Les larmes finissent par se tarir. Je luis souris et je prends l'initiative de l'embrasser. Elle hésite de peur d'un nouveau recul, mais elle se laisse enfin embrasser. Ce baiser est important car c'est pour moi le baiser pour la récupérer, la retrouver. On s'abandonne tous les deux dans un tourbillon de plaisir. Je la sens qui frémit entre mes bras. Sûr de moi, l'envie de la soumettre à mes envies me prend soudain. Je me sens devenir un Monsieur David. - Dis-moi, tu m'aimes, je lui demande dans le creux de l'oreille ? - Je te l'ai déjà dit mais je suis prête à te le répéter encore et encore. - Je voudrais que tu me fasses plaisir, là ...
    ... tout de suite. Elle est surprise mais me demande ce que je désire. - J'ai trouvé que tu te plaisais à te montrer. Fait-le pour moi, maintenant. - Comment ça, elle me demande étonnée ? - Je ne sais pas moi. Par exemple, tu pourrais enlever ta robe ici dans la voiture et passer les sous vêtements qu'il t'a offerts. - Mais c'est fou ! On peut me voir non ? Tu as bien profité toi aussi tout à l'heure non ? - Oui, mais tu l'as fait pour ce Monsieur David. Et le faire ici, pour moi, c'est cela qui m'excite. Je la sens qui réfléchit. Tenaillée entre désir de me faire plaisir pour se faire pardonner et la peur d'être vue par des inconnus. Enfin elle se décide. Je la vois qui se détend. Elle me sourit. - Tu es un vrai cochon, monsieur mon mari ! C'est vrai et déjà je sens que ma bite est à l'étroit dans mon slip. Alors, doucement, lentement, en me regardant droit dans les yeux, elle commence par se défaire de sa petite veste qu'elle dépose sur la banquette arrière, puis elle dégage la robe de ses épaules mettant ses seins en pleine lumière du parking. Elle se soulève pour libérer la robe et la fait passer entre ses jambes. Elle est nue dans l'auto simplement habillée de ses chaussures. Elle commence par passer le string en se contorsionnant sur le siège, puis les bas, un à un. Enfin elle passe tranquillement le soutien gorge. Elle est magnifique et je la sens fière de son effet. Comme tout à l'heure dans la boutique. - Tu es content ? Tu me trouves belle ? - Oui beaucoup. Et toi tu aimes ...