1. LE MARIN. La Parisienne en vacances. (11)


    Datte: 03/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Didier, notre nouveau petit mousse, venant d’embarquer venant des apprentis-mécaniciens de Toulon et surtout partenaire de nos jeux sexuels après avoir perdu son pucelage avec Véronique, la belle Parisienne en vacances d’oxygénation devenue notre maîtresse vient de s’émanciper en sautant dans sa chambre Gislène jeune mariée avec Benoît, un jeune homme de Bègles où il tient un garage de voitures américaines. Le comportement de la jeune femme se disant vierge et dépucelée le jour de ses noces m’interpelle et je viens de lui faire reconnaître qu’elle a blousé son mari et que de vierge, elle reconnaît être une folle du cul. Je l’aurais bien couché sur le capot de la Mercedes comme je l’ai fait avec Véro au début d’après-midi lorsque Benoît refait son apparition. Commençant à bien connaître Véronique, la proposition qu’elle fait et surtout comme elle nous place m’interpelle. • Si nous prenions, une seule voiture, ce serait sympa d’être tous ensemble. Quand penses-tu Christian. • Oui, mais il faut prendre ta Mercedes, car avec la deudeuche, nous serons en retard chez Gaëlle et Louise. • Oui, c’est mieux alors voilà ce que je vous propose, je prends le volant, Benoît avec ton mètre quatre-vingt-dix et tes 100 kg, tu montes devant à la place du mort et vous trois, vous montez derrière même si la place est exiguë. • Pas 100 mais 98 kg. Même pour parler de son poids, il faut qu’il emmerde le monde. Bien sûr, avec un mètre quatre-vingt pour 70 kg, je suis frêle en rapport et je n’ai ...
    ... aucun mal à me glisser à l’arrière surtout qu’avec la chaleur permettant à nos compagnes d’avoir des robes légères de tenir sans avoir la tête dans la capote. Didier prend l’autre coin et Gislène s’assoit entre nous. Nous avons parcouru une courte distance et comme je suis derrière son mari qui est dans l’impossibilité de nous voir la belle garce me glisse sa main sous le pont du pantalon blanc et l’entre dans mon caleçon à fleur achetée à Tahiti lord de mon voyage autour du monde. • Gislène, tu as dû épuiser ton mari, il dort déjà ! • C’est chaque fois pareille quand il se fait conduire, j’ai l’habitude. Je suis sûr que Véronique par cette phrase ayant certainement vu la main de la belle pénétrant mon pantalon dans son rétroviseur veut nous faire comprendre que nous pouvons franchir une étape dans nos rapports. C’est ce que s’empresse de faire Gislène qui sort sa main pour ouvrir carrément le pont et se penche pour prendre ma hampe en bouche. Une experte surtout lorsque dans la lumière descendante du jour, elle relève ses grands yeux de biche et qu’elle me montre son regard mutin plein d’envie. J’ai eu ma bite dans la bouche de plusieurs filles, mais je dois reconnaître qu’avec elle j’ai la reine des pompeuses. Sa langue est très agile autour de mon sexe et virevolte de mon gland à ma tige qu’elle lèche avec avidité. C’est le moment que Didier décide d’entrer dans le jeu, car au-dessus du dos de la belle salope, je le vois soulever la jupe de sa voisine et plonger trois doigts ...
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