1. LE MARIN. La Parisienne en vacances. (11)


    Datte: 03/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... au fond de son vagin dénudé la garce ayant oublié de mettre une culotte. Les 40 kilomètres nous séparant de Lorient avec une voiture lancée à 140 kilomètres heures sur ces grandes lignes droites sont vite avalés lorsque je lui remplis la bouche de longs jets que j’aurais voulus lui envoyer dans sa chatte poilue. • On arrive, Benoît avez-vous bien dormi ? • Juste fermé les yeux. Une nouvelle fois Véronique me montre sa connivence. Nous nous rajustons et nous sommes sagement assis lorsque Benoît se retourne. • Embrasse-moi chérie, ta bouche me manque. C’est ainsi que je vois les petites parcelles de spermes non ingurgités passer dans la bouche du mari cocu et qui semble heureux de l’être. • Ta bouche est toujours aussi bonne chérie. Je t’aime. Cocue et heureuse quand elle nous arrête devant son hôtel. • Je vais me changer, allez dire bonjour à Agnès, je vous rejoins. Elle est contente de nous voir et fait aussi la bise à nos amis. Elle m’attire dans sa cuisine à l’arrière du bar. • Christian, pour mon contrat, il y a un changement, Véronique la marchande de fringues, c’est à Larmor-Plage qu’elles habitent. • Pourquoi, dis-tu qu’elles habitent ? • Car Véronique la marchande de fringues habite avec Françoise, son amie marchande de chaussures. • Je comprends miens pourquoi elle était si experte en léchage de chatte et que les deux nous ont faite des remises. • J’ai pu avoir des confidences par Françoise qui est venue avant que je ferme à midi et qui m’a dit que sa copine était ...
    ... bisexuelle alors qu’elle était accro aux chattes. • Cela sent les choses vécues, tu es sûr que tu as juste fermé pour ta pose. • Oui, je le reconnais, nous avons passé un petit moment bien agréable dans ma chambre. Mais quand je te dis qu’il y a un changement, c’est que, ce soir elles seront parties après la fermeture des magasins pour leurs vacances à Marrakech. • Bien, je te relève de ta mission, tu as fait le nécessaire et nul n’est tenu de maîtriser les déplacements des uns ou plutôt des unes. Nous retournons près de nos amis et le temps de prendre l’apéritif et Véronique arrive. • Bonsoir, Agnès, je suis prête, vous êtes à l’apéro, mets-moi un chouchen. Et c’est reparti. • Un chouchen, c’est quoi, un cocktail. • Oui et non. • Alors c’est m’a tourné, patronne, servez-nous des chouchens, il faut éviter de mourir idiot. Idiot peut-être mais cocu, c’est sûr lorsque je sens la main de son épouse me tâter le cul. Comme notre amie Véronique le jour de notre rencontre, il boit avec envie cet apéritif liquoreux. Nous reprenons notre route et quelques minutes après nous arrivons devant le rideau de fer du restaurant qui est baissé. Gaëlle a dû nous entendre et devait nous attendre, car la porte s’ouvre immédiatement. • Entrées. Elles ont préparé la salle afin de mettre les tables au centre et une musique douce se fait entendre. • Gaëlle, nous nous sommes permis d’inviter ce jeune couple en voyage de noces et que nous avons rencontré à Carnac. • Louise sera contente plus, nous serons ...