1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, humour, policier, aventure,

    ... lui se soient séparés. Si tout cela est vrai, j’avoue que cette histoire ne manque pas de sel. Reste à savoir si tout cela n’est pas une vaste fumisterie destinée précisément à m’enfumer. — Et vous, à titre personnel, vous n’avez rien pour rebondir ? Vous ne vous êtes pas mis un petit pécule de côté ? Elle a alors un sourire narquois. — Si, bien sûr. Mais l’argent n’est pas le nerf de la guerre. Cette entreprise ne serait plus rien si je ne m’étais pas dévouée corps et âme pour que mon époux soit fier de moi quand il reviendrait. Si elle passe dans les mains de sa fille, Dubreuil Technologies appartiendra rapidement au passé.— Et si, d’aventure, elle s’avérait être une gestionnaire de choc ?— Il y a peu de chances : son seul désir est de liquider la boîte pour se venger à la fois de son père et de moi. Ben voyons… Nous voilà dans un scénario à la Dallas. Malheureusement, certains d’entre eux ont été inspirés de faits réels. — Et vous voudriez lui laisser quel pourcentage de l’entreprise ?— Un compromis du genre 49/51% me conviendrait très bien.— Pourtant, si vous êtes cotés en bourse, cela veut dire que l’ensemble du capital ne vous appartient pas.— Absolument. Mais je ne parle que des 55% que Claude détenait en propre.— Cela veut dire aussi que si, par la suite, votre belle-fille décide de revendre ses parts, vous perdrez le leadership de Dubreuil Technologies….— J’en suis bien consciente. Simplement, j’espère qu’elle comprendra que même avec 49% des 55% de son père, il ...
    ... lui faudra beaucoup d’efforts et plusieurs vies pour réussir à écorner ce capital. Dans cette débauche de pourcentages, je glisse alors la question qui, elle, a au moins 100% de chances d’être celle qui tue. — Et moi, j’y gagne quoi, au juste ?— Cela reste à définir… Mais nous en reparlerons plus tard, nous sommes arrivés. —ooo0ooo— Tandis que nous venons de franchir les grilles de ce fameux manoir, je ne comprends pas bien. Certes, la maison est belle, vaste et parfaitement entretenue, mais nous sommes à des kilomètres de ce que j’avais imaginé. Un vieil homme, le dos voûté, sort sur le pas de la porte. Marie-Charlotte s’arrête auprès de lui et baisse ma vitre. Le visage du type s’éclaire. — Monsieur Dubreuil ! Mon Dieu, que je suis heureux de vous revoir ! Ça fait si longtemps… Naturellement, je lui adresse un sourire amical tandis qu’il me serre la main. Nous repartons. — Vous voyez ? Quand je vous disais que vous lui ressemblez… Il vous a connu pendant des années, et pourtant il n’a pas tiqué.— Ah ? Parce que ce n’est pas votre manoir ? Elle éclate de rire. — Oh non ! Ça, c’est la maison du gardien. Le manoir, il est encore à deux kilomètres. « Deux kilomètres ? Elle a pété un boulon, mémère ? » C’est en voyant apparaître le fameux manoir que je réalise que c’est plutôt moi qui débloque… En vérité, en fait de manoir, moi j’appellerais plutôt ça un château. Peut-être pas Versailles, mais dans le genre pavillon de jardin, ça se pose là. — Je vais vous présenter rapidement au ...
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