1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, humour, policier, aventure,

    ... personnel. En dehors de Victor, le gardien, il n’y a que deux personnes qui ont connu le vrai Claude Dubreuil en chair et en os.— Je vous rappelle encore une fois que je ne vous ai toujours pas dit que j’acceptais. Elle explose. — Mais bon sang, je viens de vous dire que je suis prête à vous laisser le tiers d’une boîte dont la valeur est estimée à quarante milliards d’euros, et vous hésitez encore ?— Quarante milliards ?— Oui, en comptant quelques actifs à risques dans quelques pays à l’économie douteuse, mais l’estimation est assez fiable. Vous imaginiez sans doute que j’étais en train de prendre tous ces risques pour sauver la pizzeria du coin ? Soudain, il me semble indispensable de mettre les choses au point. — Du calme, s’il vous plaît… C’est bon, je vais me faire passer pour Claude Dubreuil. Mais je vous préviens, si quelque chose ne me convient pas, j’arrête tout. Elle a un sourire narquois. Pour elle, c’est simple : je réponds à l’appât du gain. Il me faut dissiper le malentendu. — J’imagine qu’à l’hôpital, ils vous ont transmis mon dossier avant que vous ne veniez me voir. Vous savez donc que, sans rouler sur l’or, je n’avais aucun problème d’argent. Cela peut paraître surprenant, mais je n’ai jamais voulu voir les choses en grand. J’aurais pu amasser une fortune à la Bourse, mais je n’en ai jamais ressenti le besoin. Une belle voiture, un bel appartement, des voyages où je veux et quand je veux, cela me convient très bien. Et comme, en plus, j’ai un certain nombre ...
    ... « d’amies » qui, pour autant que je les emmène aux quatre coins du monde, sont toujours prêtes à me tenir chaud sous la couette, je n’ai vraiment pas à me plaindre. Elle se ravise. — Je vous prie de m’excuser. J’ai sans doute mal évalué vos intentions.— Vous l’êtes. Bon, on y va ? Sur l’immense perron et au bras de Marie-Charlotte, je me retrouve face à une dizaine d’hommes et de femmes, tous vêtus d’un uniforme impeccable. — Je vous présente votre personnel de maison, Claude. Tout ce petit monde se fend d’une courbette digne d’une chorégraphie de la Star Ac’. — Pour ceux qui ne l’ont jamais connu, je vous présente donc monsieur Claude Dubreuil, mon époux. Comme vous en avez sans doute eu connaissance, il est amnésique et ne se souvient de rien. Par contre, je compte sur vous pour l’aider à recouvrer la mémoire. C’est entendu ? L’un d’entre eux, un grand brun aux tempes grisonnantes et à la cinquantaine bien tassée s’avance alors. — Nous sommes ravis de vous revoir parmi nous, Monsieur Dubreuil. Je suis Georges, votre majordome et, au nom de tout le personnel, je tiens à vous souhaiter un bon retour chez vous. Machinalement, je lui tends la main. Il reste interdit quelques instants, avant de se raviser et de me la serrer chaleureusement tandis qu’une salve d’applaudissements retentit. Il me paraît alors difficile de ne pas prendre la parole. — Je vous remercie tous, votre accueil me va droit au cœur. Je vous prie de m’excuser, mais il va me falloir un peu de temps pour mettre ...
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