1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, humour, policier, aventure,

    ... derrière elle et que mes caresses deviennent plus précises au niveau du sillon de son sexe qu’elle comprend subitement. Oui, tu vas jouir, ma fille… Je n’ai d’ailleurs pas à insister très longtemps, son bouton d’amour m’a tout l’air d’être hypersensible et la donzelle particulièrement réceptive à ce genre de caresse. — Je veux vous entendre crier, Vanessa… En vérité, je ne sais absolument pas si elle a compris un traître mot de ce que je viens de dire. Concentrée sur la montée de son plaisir, les yeux mi-clos, l’ensemble de son corps tangue au rythme de mes doigts qui vont et viennent de sa caverne intime à son bouton d’amour. Cela ne dure que quelques minutes, jusqu’à ce qu’un terrible orgasme la terrasse. Elle accueille la délivrance avec un hurlement de bête à en faire trembler les vitres. Tiens, est-ce une coïncidence, ou la harde de sangliers qui se promenait tous près de nous l’a entendue ? Quoi qu’il en soit, elle vient de disparaître dans le sous-bois. Vanessa paraît honteuse de son plaisir. — Je… je suis désolée… Je ne sais pas ce qui m’a pris… Veuillez me pardonner… Je ne vois pas bien pourquoi il conviendrait de s’excuser d’avoir pris du plaisir mais, tout sourire, je saisis la balle au bond : — Non, je ne vous pardonne pas, Vanessa. Ou alors, à une condition…— Laquelle ?— Vous allez comprendre… Cette fois, plus de chichis. J’expédie promptement l’ensemble de nos vêtements par terre et, attrapant Vanessa par la taille, je l’assieds sans ménagement sur le meuble sur ...
    ... lequel j’avais déposé ces foutues fringues. Nue, assise et les jambes écartées, mon sexe à quelques centimètres de sa grotte d’amour, je pense que l’invite est assez explicite. — Je veux vous entendre crier une seconde fois, Vanessa. Vous êtes prête ? Qui ne dit mot consent ; et ça, pour le sentir, elle va le sentir… D’un trait, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde et commence aussitôt à la pilonner frénétiquement. Elle crie, elle braille, elle grogne, elle geint au rythme de mes coups de reins, mais rien n’y fait : je ne ralentis pas la cadence. Tout cela ne dure naturellement pas très longtemps puisque, pour la seconde fois en moins d’une heure, je sens la sève monter de mes reins et je me déverse en elle. Comme pour faire bonne mesure, c’est le moment précis que Vanessa choisit pour jouir elle aussi, tout en poussant un cri peut-être encore plus terrible que le premier. Nous restons comme ça, enlacés, soudés l’un a l’autre, mon sexe toujours au fond du sien. Elle ne dit plus rien, et c’est à ce moment que je sens quelque chose de chaud couler sur mon épaule. Des larmes ; ses larmes. — Vanessa ! Que vous arrive-t-il ? J’ai fait quelque chose de mal ?— Non, Monsieur, ce n’est pas cela…— Alors parlez, Vanessa. Pourquoi pleurez-vous ?— C’est que, c’est que… Ses sanglots repartent de plus belle. Comme, dans la salle, il y a un canapé, je la prends dans mes bras et vais la déposer dessus. Puis, de nouveau, je la prends dans mes bras. Elle se calme. — Expliquez-vous, je vous en ...
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