L'amnésique (adoucit les mœurs)
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fbi,
frousses,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
attache,
fouetfesse,
délire,
humour,
policier,
aventure,
... prie… J’ai horreur de voir une femme pleurer.— C’est que… c’est que… Ce n’est pas possible, Monsieur n’est pas Monsieur. Le ciel me tombe sur la tête. — Pardon ?— Vous n’êtes pas Claude Dubreuil. Vous lui ressemblez, mais vous n’êtes pas lui. J’essaie toutefois de cacher mon désarroi. — Et qu’est-ce qui vous fait dire cela ?— Le vrai Claude Dubreuil n’aurait jamais pris soin de me sodomiser sans douleur. Le vrai Claude Dubreuil n’aurait pas pris le temps de me déshabiller, de me savonner, et encore moins de me faire jouir comme vous venez de le faire.— J’ai peut-être changé, vous savez…— Non… Claude Dubreuil avait un sexe beaucoup plus petit que le vôtre, il ne serait jamais parvenu à me faire jouir comme vous la seconde fois. Comme pour mieux noyer le poisson, je hausse les épaules. — Bah, comme vous le savez, je suis amnésique. Peut-être, après tout, que je ne suis effectivement pas Claude Dubreuil. Ne bougez pas, je vais vous chercher vos vêtements. Le temps d’aller et de revenir, elle est de nouveau en larmes. — Ne pleurez pas, ce n’est pas si grave…— Si… Comment vais-je annoncer cela à Madame ? Cette fois, je souris. — Le plus simple est de ne rien lui dire, tout du moins pour le moment. Si vous connaissez votre patronne, vous savez quel tempérament elle a, et qu’elle m’a déjà beaucoup pratiqué. Sexe plus gros ou pas, elle ne s’en est pas émue. C’est à son tour de sourire. — Peut-être, après tout. N’en parlons plus… Vous êtes Claude Dubreuil, point. Cela vous ...
... convient-il ? Je l’embrasse sur le front. — Absolument. Maintenant, rentrons. —ooo0ooo— Même si l’alerte semble levée, il me semble bon d’en avertir Marie-Charlotte. Seulement, elle est toujours à Singapour, et je n’ai aucune idée du décalage horaire. Je préfère prendre le risque de la réveiller… Pas manqué : c’est une voix pâteuse qui me répond. — Allô, oui ?— Désolé de vous réveiller, Marie-Charlotte, mais il me semble que nous ayons un problème.— Ah ? Lequel ?— Vanessa pense que je ne suis pas Monsieur Dubreuil. La perspective ne semble pas l’émouvoir plus que cela. — Ah ? Et qu’est-ce qui lui fait penser cela ?— Il paraît que votre mari était beaucoup moins bien équipé que moi… À l’autre bout du fil, je l’entends éclater de rire. — Ah oui, ça c’est sûr, y’a pas photo ! Puis, après un silence mais toujours sur le même ton : — On ne vous a jamais dit que votre queue vous perdrait ? Après un autre éclat de rire, elle redevient sérieuse. — Ne vous inquiétez pas, je la connais bien. Cependant, je m’en vais l’appeler de ce pas, on ne sait jamais. Ah, puisque je vous ai au téléphone, cela tombe bien : j’attends confirmation, mais je crois que tu pourras rencontrer ta chère belle-fille demain soir à Genève. Bonne nuit… À peine un quart d’heure plus tard, j’entends gratter à ma porte. Gagné, c’est Vanessa. — Oui ?— Je viens d’avoir votre épouse au téléphone ; elle m’a demandé de garder le silence, au moins pour la semaine. C’était déjà mon intention et je vais m’y tenir.— Je vous en ...