1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, humour, policier, aventure,

    ... Ma chère Patricia, les mots ne suffisent pas toujours. Il va falloir le mériter, ce pardon. Elle tombe des nues. — Ah bon ? Que veux-tu que je fasse ?— Je ne sais pas. Je cherche quelque chose qui marquera suffisamment ton esprit tordu pour te dissuader à tout jamais de recommencer. Une bonne leçon, en fait.— Moi, j’ai une idée, intervient Marie-Charlotte. Il y a deux ans, j’ai commis une grossière erreur. En substance, Marie-Charlotte avait été contactée par un petit émirat qui désirait que ses forces armées soient équipées du système mis au point par Claude Dubreuil. La seule exigence de l’Émir était que, quitte à payer le prix fort, ses voisins n’en soient jamais dotés afin de conserver le leadership de cette petite partie du golfe, et surtout protéger les frontières de son minuscule État. Marie-Charlotte s’y était engagée ; les contrats avaient été signés, le matériel livré, et l’argent versé. Tout allait pour le mieux jusqu’à ce que notre Émir se rende compte quelques semaines plus tard que son voisin direct venait de s’équiper du même matériel ! Il fallut deux mois pour trouver comment cela avait été possible. En fait, via une nébuleuse de sociétés off-shore, d’intermédiaires et de holdings en tout genre, Marie-Charlotte s’était fait enfumer et avait livré par erreur le matériel incriminé à ce voisin plutôt envahissant. Par bonheur, Claude Dubreuil avait dès le départ conçu son système pour qu’il ne puisse être opérationnel contre un pays allié. Quelques manipulations ...
    ... plus tard, l’Émirat voisin revenait à la case départ et une crise avait été évitée. — J’ai tenu à informer moi-même le Cheikh que tout était rentré dans l’ordre. Autant Patricia que moi, nous ne voyons pas bien quel rapport tout cela peut avoir avec mon idée de punition. Nous laissons donc Marie-Charlotte poursuivre. — Il m’a bien évidemment remercié, mais en n’oubliant pas de me faire remarquer que, dans son pays, une telle erreur m’aurait valu cent coups de fouet. Certaines nations ont de charmants usages… Parce que cent coups de « vrai » fouet, c’est, dans l’immense majorité des cas, la mort au bout d’abominables souffrances. — Et alors ?— Je lui ai dit que, s’il acceptait de venir ici, j’étais disposée à recevoir la punition qu’il estimait que je méritais. Si je suis quelque peu estomaqué, Patricia, elle, ouvre des yeux comme des soucoupes. — Mais vous êtes folle ! Vous imaginez les risques que vous preniez ?— Risque très relatif, en vérité, puisque j’avais très nettement remarqué qu’il avait le sourire lorsqu’il m’avait parlé du fouet. Et puis, c’était MON erreur.— Et pour finir, il est venu ici ?— Absolument, mais il a préféré me flanquer cette correction avec un martinet de daim. Si la douleur est très supportable, cela a surtout l’avantage de ne pas laisser de traces durables. Mais cela ne veut pas dire que je ne l’ai pas senti passer. Patricia et moi restons sans voix. Elle poursuit : — Le plus surprenant dans cette affaire, c’est qu’il était accompagné d’un grand ...
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