Le voisin est un pur-sang (3)
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
Hétéro
... nibards dans tes paluches et serre-les", ce qu’elle fit sans discuter. Mon jet fusa, sans doute moins fourni que je l’eusse voulu, mais il tomba entièrement sur le visage, sur les yeux fermés, sur le creux du nez, directement dans la bouche ouverte où j’introduisis mon gland immédiatement. Mais Germain me poussa vite en arrière pour que je lui fasse place et, la tige lancée vers le ciel, il expulsa toute sa crème, qui semblait aussi abondante que les fois précédentes. La fontaine de foutre retomba de part et d’autres du zob dressé, y compris sur les poils pubiens de l’heureux éjaculateur, alors que des gouttes plus lourdes tapissaient le visage de l’heureuse élue ou sinuaient entre les deux nibards. A plusieurs reprises, il ramassa ce qu’il put avec le bout de sa queue pour tout resservir dans la bouche gourmande qui se régalait manifestement d’un tel apport de protéines 100% bio. Mais, si gros que fut le gland, il ne parvint pas à collecter tout le liquide répandu sur les mamelles et le visage, aussi y mit-il les doigts, et, quand il eut collecté assez de sperme, il se mit à caresser la fente frénétiquement avec. On était au début de l’après-midi et il dut repartir chez lui pour travailler. Comme il faisait très chaud et que cette matinée de baise l’avait retenu loin de son travail, nous l’invitâmes à venir dîner avec nous ce dimanche soir dans notre jardin. Je lui demandai juste la permission d’aller piocher quelques morceaux de viande dans son congélateur pour faire un ...
... barbecue dans notre jardin. Il nous dit qu’il ne pourrait pas être là avant 21 heures. Je commençai donc à faire les préparatifs. La chaleur n’avait pas baissé et, comme notre jardin est entièrement clos, pas un souffle d’air ne passait. Anne-So se mit alors à poil, ce qu’elle ne faisait jamais d’habitude. J’en fit autant tout en commençant à bander un peu en devinant quels étaient ses desseins (et depuis quand nous sommes seuls ou avec Germain, nous vivons toujours à poil dehors). Germain nous rejoint quelques minutes après alors que nous avions terminé les préparatifs. Nous voyant nus, il s’y mit aussi et, pendant que je grillai la viande, au moment de l’apéro, il se fit sucer à côté de moi, tout en tapant la causette et en évoquant nos prouesses du jour. Fort heureusement, mon tablier protégeait mon zgeg de la chaleur de l’âtre, sans quoi il eût fondu comme une saucisse. Mais le repas fut prêt et nous passâmes à table. Je notai que la verge de Germain ne dégonflait pas. Il faut dire qu’il la maintenait tendue par quelques coups de poignet bien sentis de temps à autre. Finalement, vers 22 H 00 il se leva. "Bon, c’est pas le tout, mais avec la nuit et le journée qu’on a passées, il faut que j’aille me reposer si je veux être opérationnel demain... pour bosser". Ce faisant, il vint auprès de ma femme, lui pelota les seins et l’allongea sur la table, en poussant tout ce qui pouvait gêner. Je restai assis, contemplant la scène en bandant. Il se tenait debout, elle le cul au bord ...