1. Le voisin est un pur-sang (3)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... de la table, avait les jambes pliées sur les avants-bras poilus et musculeux du mâle. Il la troncha sans ménagement. Je fixai mon regard alternativement sur les nichons qui s’agitaient au rythme saccadé des coups de trique et sur la pine qui rentrait et sortait très vite dans l’antre humide. Il ne se ménagea pas. La table vibrait sous les coups et je dus enlever tout ce qui risquait d’en tomber et de se casser. Ma femme haletait et se retenait de ne pas crier pour ne pas alerter le voisinage. Elle finit par se masser les mamelons et se les pincer quand vint l’orgasme. Il jouit peu de temps après tout en enfonçant son pieu le plus profondément possible jusqu’à ce que jaillisse la dernière goutte. Il resta un court instant immobile, se retira avec lenteur et je me mis aussitôt à la place gluante et chaude. C’était la première fois que j’enfilais mon zob dans une chatte pleine de sperme. J’en trouvais la sensation agréable. Germain regarda un peu, m’envoya une grande claque sur le cul, fit un monumental suçon sur l’une des tétines, roula un pelle magistrale à ma femme et nous dit : "Profitez bien. A bientôt". Et il partit. Je profitai longtemps du moment, tirai ma crampe méthodiquement, sans précipitation pour finir en montant sur la table pour éjaculer sur la poitrine. Quand je l’eus fait, je léchai mon propre jus, que j’avais déjà goûté lors d’un branlette en solo lorsque j’étais encore célibataire, puis, la bouche pleine du meilleur de moi-même, je recrachai le tout dans la ...
    ... bouche de ma petite chérie et nous finîmes par une galoche magistrale. Nous montâmes nous coucher ainsi, sans rien ranger, sans nous doucher, laissant cela pour le lendemain. Nous nous aperçûmes vite par la suite que Germain était très demandeur, une bête de sexe. Il vint dès le lendemain et les jours suivants, d’abord timidement, demander si Anne-So avait du temps libre, avec ou sans moi. Ayant déjà pris une sérieuse addiction pour ce gros chibre, elle ne refusa que rarement. Puis, avec le temps, il ne prit plus de précaution. Il lui arrivait d’entrer dans la cuisine ou le salon sans frapper ou à peine et, si Anne-so s’y trouvait, il baissait son froc pour se faire sucer de suite. "Vide-moi les couilles" disait-il. "Elles sont lourdes"! Nous le vîmes ainsi venir un nombre incalculable de fois et à chaque fois nous pensions que c’était pour baiser, ce qui n’était pas toujours le cas, quoique l’inverse fut rare. Il m’arrivait souvent, en rentrant de mes consultations, de les trouver tous les deux au pieu, sous la douche, dans le jardin ou n’importe où ailleurs. Parfois, la maison étant vide, j’allais chez lui. Plus d’une fois, je les surpris dans l’étable, le grenier, sa piaule, sur le tracteur... et, souvent je me joignis à eux, à moins que je fusse trop fatigué ou que j’eusse à faire. Les nuits du vendredi et du samedi se passaient souvent à trois et même, deux ou trois fois, à quatre quand il avait trouvé sur internet une petite nana qui acceptait ce type de plan. Mais nous ...
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