1. Christine IV : Turpitudes adultères (2)


    Datte: 06/05/2019, Catégories: Hétéro

    A la manière dont Sandra bougeait, dont elle se frottait à moi et surtout à la manière dont elle se déshabillait, il ne faisait aucune doute qu’elle avait pris quelques cours de strip-tease. Son corps de rêve orné d’un ensemble de lingerie d’un blanc lumineux, composé d’un soutien-gorge et d’un fin string pour le moins transparent; ses jambes musclées dans une sublime paire de bas noirs à large jarretière, j’étais fou et je faisais de mon mieux pour ne pas le montrer. Elle s’est assise devant moi, sur la table, dans une position parfaitement indécente et elle a glissé sa main dans son string pour commencer à se masturber. Elle s’est allongée et a écarté l’étoffe pour offrir à mes yeux ébahis la douce vision de sa vulve juvénile, glabre, trempée et ouverte. Je bandais durement et n’avais qu’à me pencher pour y goûter. J’ai résisté, héroïque. Elle a joui toute seule. Mais Sandra avait décidé de me faire craquer. Descendue de la table, elle m’a relevé de la chaise et s’est mise à danser contre moi. J’avais débandé entre temps, mais quand elle a frotté ses fesses contre mon entrejambe, ce fut trop. Je suis reparti illico au garde à vous et ce, contre son postérieur. Elle s’est tournée, agenouillée et quand elle a commencé à ouvrir mon pantalon, je n’ai rien dit, rien fait. Elle a sorti mon sexe et s’est exclamé : — Oh ! Et moi qui croyait que mon mec était bien membré ! J’ai fermé les yeux, mais je les ai vite rouvert. La fellation de Sandra était assez décevante, du bout des ...
    ... lèvres, peu profonde. Heureusement qu’elle me masturbait en même temps, sinon j’aurai certainement débandé à nouveau. Elle s’est relevée. Elle venait de faire la preuve de son inexpérience, mais elle a dit : — C’est la plus grosse bite que j’ai jamais sucée. Et ça m’a un peu agacé. Elle a ôté son string qu’elle a amené vers mon nez et elle a ajouté : — Il y a des semaines que j’ai envie de toi. Je pense à toi quand mon mec me saute. A chaque fois qu’on va manger ensemble, je vais me masturber quand on revient au bureau. Elle m’a attiré vers elle, s’est assise au bord de la table, a écarté les jambes et elle a dit : — Prends-moi, Florent, j’en peux plus, prends-moi ! Ma bite était posée sur sa chatte et moi, depuis la fellation, j’avais surtout envie de casser son numéro de chaudasse qui commençait sérieusement à m’énerver. J’ai alors tenté le tout pour le tout : — Je n’ai pas envie de te prendre par là, Sandra. Ce qui me rend fou, c’est ton cul et depuis que je t’ai vue, la seule chose qui me fait fantasmer, c’est de te sodomiser. Ce qui n’était pas exactement faux, cela dit. Mais à son regard, j’ai su qu’elle ne l’avait jamais fait. J’ai insisté : — Tourne-toi, Sandra. Si c’est la plus grosse bite que tu n’as jamais sucée, c’est certainement la plus grosse bite qui te donnera du plaisir de ce côté-là. txnnvs Elle est descendue de la table. Je lui ai laissé le temps de me dire non. Elle n’a rien dit. J’ai foncé : — Allez, Sandra, dis-moi, combien de mecs t’ont déjà sodomisée ? ...
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