1. Christine IV : Turpitudes adultères (2)


    Datte: 06/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... Elle a rougi, souri. Gênée, elle a menti : — Heu… Deux. Je l’ai invitée à se tourner et à s’accouder sur la table. Je me suis agenouillé derrière elle et j’ai entamé un anulingus. Des mois que je n’avais pas lécher la rondelle de ma femme !! Celle-ci était absolument parfaite et sans aucun doute, vierge. Même si elle venait de passer une journée au travail, je n’ai pas hésité une seule seconde : j’ai pénétré de ma langue cet anus qui sentait fortement la sueur. Un bonheur irréel, la fin d’un manque de plusieurs mois ! Les gémissements de Sandra semblaient authentiques. J’ai ensuite lentement glissé une phalange de mon majeur. Si Sandra avait ouvert le passage à ma langue, il n’en était pas de même pour mon doigt. J’ai alors bien écarté ses fesses et posé ma bite contre son anus. J’ai fait semblant de pousser puis je me suis reculé. J’ai crié : — Mais qu’est-ce que tu attends pour me dire d’arrêter ? Qu’est-ce que tu attends pour me dire que tu n’as jamais été sodomisée ? Si Sandra était en pleurs, ce n’était pas à cause de ma fureur passagère. Elle croyait vraiment que j’allais la pénétrer. Elle s’est tournée et m’a sauté au cou. Elle m’a longuement étreint en pleurant. Je lui ai dit de se rhabiller. Elle m’a expliqué que son copain lui mettait la pression pour la sodomie; ils avaient essayé mais elle avait eu super mal. Je lui ai dit qu’elle n’était pas prête et qu’elle avait joué à un jeu sacrément dangereux. On a bu ...
    ... du champagne avant de partir. Dans l’ascenseur qui nous emmenait au parking souterrain, Sandra a dit : — Un truc bien vrai : c’est la première fois qu’on me léchait là. Au début, ça m’a dégoutée, mais whaaaaw, c’était super bon. La soirée m’a servi d’électrochoc. Quand bien même j’ai continué à aller manger de temps en temps avec elle, j’ai pu résister aux dernières avances de Sandra. Ou presque. Car durant l’été, il y aura ce passage par la piscine durant la pause de midi. Quelques minutes au soleil et dans l’eau avant de retourner travailler. Aux vestiaires avant de partir, Sandra se glissera dans ma cabine et me sucera une nouvelle fois. Je ne pourrai résister à son : — Je meure d’envie que tu me lèches le cul. Un long anulingus sera suivi d’un vif cunnilingus et, après une nouvelle fellation, je jouirai sur les seins de ma jeune collègue. Après cet évènement et une franche discussion, Sandra se fera finalement faite une raison. Avec ma femme, je n’avais plus le choix. Aussi, j’ai alors pris le taureau par les cornes en organisant à l’automne 2012, notre premier week-end à deux depuis quatre ans. Pour l’occasion, elle avait ressorti porte-jarretelles et guêpière et nous avions pratiqué la sodomie pour la première fois depuis plus de deux ans. Un week-end très sexe, comme à l’époque. L’erreur est de ne pas avoir parlé. Alors la machine est repartie pendant un gros mois avant de se gripper, à nouveau, petit à petit... 
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