Bécassine (5)
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
Hétéro
... dépose un petit baiser affectueux sur la nuque. — Tu sais, je ne suis pas lesbienne… — Euh… oui, je m’en étais aperçu. — Non, je dis ça parce que quand j’étais à l’internat… Ça y est, la voilà repartie avec une autre de ses histoires ! Que me réserve-t-elle cette fois ? — … avec les autres filles avec qui je partageais ma chambre, on se caressait parfois le soir quand les mecs nous manquaient trop. Puis à force, on le faisait tous les soirs. Puis on a fini par carrément se brouter le minou. Juste comme ça, entre amies, pour se détendre. Ça ne signifiait rien d’autre. Et puis parfois, quand on réussissait à faire venir discrètement un garçon, on se le partageait. Mon plus grand fantasme : voir deux femmes se caresser. Imaginez l’état dans lequel je suis rien qu’à entendre cette histoire. — Tout ça pour dire que si tu as besoin de te soulager comme hier, je peux m’en occuper, continue-t-elle en frottant son cul le long de mon sexe. Et puis si tu veux me mettre un doigt ou deux au passage, je ne dis pas non. Ne t’inquiète pas, ça ne fera pas de toi un hétéro. On se caresse, on se fait du bien entre amis, c’est tout ; comme à l’internat. Ça ne veut pas dire que tu changes de bord. C’est une sorte de service qu’on se fait entre amis, comme par exemple les fois où je t’ai sucé. Juste un service ; ça ne signifie rien d’autre. Alors ? Si à chaque fois qu’une fille m’a dit "Je ne veux pas sortir avec toi ; je préfère qu’on soit amis. » elle m’avait parlé de ce genre d’amitié, ça ...
... m’aurait fait beaucoup moins chier de me prendre des râteaux. Elle attend une réponse. Je lui fais comprendre mon accord en commençant par lui caresser le dos. Je la sens frissonner sous mes doigts. Ma main passe ensuite sur son épaule puis se dirige sur un sein. Bécassine soupire. Ses tétons pointent. Je lui malaxe quelques minutes ses obus tandis qu’elle remue du bassin pour agacer mon sexe. Elle passe une main dans son dos et attrape mon engin qu’elle caresse doucement. Mes lèvres se déposent le long de sa nuque pour une longue série de doucereux baisers. Puis les choses évoluent. Nous nous faisons désormais face. Je tente de l’embrasser. Elle a un mouvement de recul dans un premier temps, mais finalement se laisse faire. Ma main abandonne ses mamelles, descend le long de son ventre et atteint son entrejambe. Mes doigts s’immiscent dans sa caverne aux merveilles. Elle est trempée. — C’est étrange d’embrasser un gay, avoue-t-elle. — Plus étrange que d’embrasser une autre femme ? — On ne s’est jamais embrassées à l’époque. On se contentait de cunnis et de caresses. Pourtant, ce n’est pas la première fois qu’on s’embrasse. La dernière fois c’était en boîte, mais elle ne s’en souvient peut-être pas puisqu’elle était ivre. Visiblement, même si ça lui paraît étrange, elle n’hésite pas à recommencer l’opération. Elle coule de plus en plus sous mes doigts. Je me sens de plus en plus dur sous les siens. Finalement, mes lèvres quittent les siennes et encerclent un téton. Un grognement de ...