La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°709)
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°708) - Le temps des présentations - Alors je m’exécute, je m’agenouille tandis que le coach a déjà sorti son volumineux sexe qu’il me présente. En effet, je vois apparaître devant mes yeux une queue plutôt longue et d'une épaisseur impressionnante, un véritable taureau, à la vue de ses énormes couilles pendantes ! Le coach bande effectivement déjà, comme il l’a dit lui-même, et d'un coup de reins sec et puissant, il enfonce son pénis entre mes lèvres, emplissant ainsi ma bouche et l'entrée de ma gorge... J'étouffe... mais peu lui importe, tant qu'il peut ainsi faire aller et venir son gros sexe dans la gaine chaude et humide de ma bouche soumise... Sa main pèse lourdement sur ma nuque et je suis dans l'impossibilité de résister... Je commence à paniquer car j'étouffe vraiment. L'air manque... mais c'est alors avec soulagement que je sens assez rapidement un flot épais emplir ma gorge... Il vient d'éjaculer et sa semence abondante se répand dans ma bouche de putain… Il m’impose de tout avaler et de lui nettoyer son gland et sa hampe. Puis il me fait lever et emmener les sandwichs et ensuite revenir chercher les bouteilles d’eau… Nous nous restaurons, tous debout et toujours en rang, silencieux, parfaitement alignés. Dès que nous avons terminé, le coach nous emmène dans le bâtiment se trouvant à l’entrée de la propriété, servant de garage au rez-de-chaussée. Là, nous montons à l’étage en file ...
... indienne et découvrons une immense mais bien étrange pièce. Sont érigées des poutres épaisses de bois, toutes à la verticale, tenues au sol par un empiècement métallique. Face à ces poutres que l’on peut appeler d’épais mâts ou piloris, une longue estrade, sur laquelle sont placées des bancs en bois. - Vous allez tous vous placer devant un pilori, debout, dos contre la poutre. Et je ne veux entendre aucun bruit ! J’ai sur ma droite une très jeune soumise asiatique, très belle mais semblant frêle et fragile, sur ma gauche un mâle semblant venir du fin fond de l’Afrique et plutôt robuste, d’une cinquante d’année. Parmi cette cinquantaine d’esclaves, il y en a de tous pays, de tous continents ! Il est aisé de conclure qu’apparemment la planète entière est représentée ! Toujours tête basse, je reste sans un mot et me laisse attacher mains et chevilles, par un court cordage, mes pieds de part et d’autre du pilori, mes poignets et mains tenues liés derrière cette massive et verticale poutre de bois. Je ressens une bien étrange sensation au milieu de toute celles et ceux, comme moi, asservis et attachés. Tout autant stressé qu’excité, je me complets à m’afficher sans le moindre ressenti de honte. Et je peux affirmer que c’est le cas de tous les autres, car aucun ne montre de la gêne, de la pudeur, tous, à mon instar, ont l’air d’être si heureux de se trouver en cette situation peu ordinaire. Qu’il est bon de vivre sa soumission au grand jour, sans scrupule ni complexe comme tous mes ...