La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°709)
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sensibles jusqu’à me faire gémir et grandir, autant que possible, ma bite encagée a du mal à rester tranquille, si elle pouvait s’exprimer, il y a longtemps qu’elle serait dressée au zénith. - Tu es une bien belle et grosse salope toi ! Mais c’est normal ! Car nous savons tous ici que Monsieur le Marquis d’Evans possède un des meilleurs, sinon le meilleur Cheptel d’esclaves au monde … - Oui Madame, je suis une belle salope. - Et en plus tu mouilles. La séquence photos est maintenant terminée. Il est alors décidé que chaque esclave doit être présenté individuellement. Accompagné du Maître ou de la Maitresse, l’esclave devra être détaché et mis totalement nu, hormis son collier gardé autour du cou. Et c’est ainsi, que par l’ironie du sort, je suis le premier à être exhibé. Le Maître exige qu’on me libère de mes entraves, qu’on m’ôte ma marinière puis Lui-même dégage ma nouille de cette cage de chasteté et m’entraine sur une estrade posée face à toutes Celles et Ceux Dominants. Impossible pour moi de contrecarrer mon excitation. Je sens ma tige inexorablement ...
... se redresser, tant j’éprouve de la fierté ! Le Maître me fait tenir debout, cuisses écartées, le regard bas, les mains sur la tête. Sous mon regard : ma bite raide, mon gland violacé et humide ! - Voici, Mon chien, l’esclave Endymion MDE, à Mon service depuis plus d’un an déjà. Jamais jusqu’avant Moi, il n’avait eu de Maître ou de Maîtresse, moi seul l’ai éduqué, dressé, apprêté et discipliné pour en faire un bon esclave, une belle catin, une belle pute. Voyez d’ailleurs, regardez sa bite comme elle est fière et altière. Regardez comme il mouille, comme il cambre son cul instinctivement… Tiens Mon chien, retourne toi, écarte toi les fesses et présente ton trou de salope… J’exécute sans la moindre hésitation, je suis comme un fou, totalement envoûté par les mots du Maître, terriblement excité par ce que je vis, fasciné par ces regards posés sur moi et mon intimité, polarisé par ce sentiment de total abandon par ces pensée qui résonnent sans cesse dans ma tête : je ne suis qu’un chien, qu’une pute, rien que l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans... (A suivre…)