1. weekend avec mon beau père et Max (1)


    Datte: 07/05/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... J’étais excitée à l’idée du week-end qui s’annonçait. 30 minutes avant d’arriver Jean releva ma robe, laissant ma fente à l’air. Nous doublâmes des camions qui nous klaxonnèrent à la vue de ma fente. — Caresse-toi !! m’ordonna mon beau père Je commençai à me toucher du bout des doigts, juste assez pour être humide. Ce voyeurisme me plaisait. Nous arrivâmes dans la cour d’une ferme. La maison était isolée au milieu des bois. Jean me conduisit vers une grange. Quand mes yeux se furent habitués à la pénombre, je distinguai Marcel. Il nous salua en me reluquant. On voyait mes tétons à travers le tissu de la robe. Après avoir échangé quelques banalités, Jean annonça : — Papa c’est ton cadeau, je l’initie au cul. Elle n’a pas été gentille, donc je l’ai prévenue que ce weekend, c’est notre cochonne. Elle devra satisfaire nos besoins. Elle doit se comporter comme notre chienne. Nous allons lui apprendre des choses. Je m’avançais quand Marcel sourit et tendit un bras vers moi. Je lui rendis son sourire et vint me presser contre lui. Il m’embrassa à pleine bouche. Sa langue s’inséra dans ma bouche. Je m’écartais et ouvris sa combinaison d’ouvrier. Il était nu en dessous. Je le déshabillai totalement et il fit tomber ma robe. Lui aussi fut excité par la bite épilée, lorsqu’il la découvrit. Il m’embrassa à nouveau longuement me malaxant les fesses. Puis, il s’allongea sur une botte de paille. Je me positionnai au-dessus de sa tête. J’écartai les lèvres de ma chatte humide et la ...
    ... caressai du bout des doigts. Il me regardait faire. Enfin, mon doigt glissa et s’enfonça dans ma chatte. Jean était nu derrière moi et nous regardait, laissant son père profiter de moi. Marcel m’attira vers sa bouche et commença à me manger la chatte. Je poussais des gémissements sans aucune retenue profitant de l’isolement du bâtiment. La langue glissait sur ma fente, rentrant parfois à l’entrée de mon vagin. Il mordillait mon clitoris, que je lui offrais sans aucune retenue. Jean caressait lentement sa bite en me voyant. Marcel me fit pivoter avec agilité, et je me retrouvais en 69. Sa queue épaisse de paysan était dure et je la fourrai dans ma bouche avec appétit. Je le suçais avec application jouant avec son gland, mordillant sa verge et suçant tout son membre tout à tour. Pendant, ce temps il mangeait ma chatte en chaleur qui ruisselait. La bouche humide il me repoussa et m’allongea sur la botte de paille. Il m’ouvrit les cuisses et sans aucune hésitation, il me pénétra d’un coup. Je poussais des gémissements de plaisir. bhdbooje — Vas-y, oui, c’est bon, fourre-moi encore !! lui disais je Parfois, il ralentissait la cadence et me pénétrait avec plus de précision, plus lentement. Il me calait toute sa bite. Je tournais parfois la tête vers mon beau-père en gémissant. Je savais qu’il aurait voulu être à la place de Marcel. Il se branlait un peu plus vite. Marcel s’allongea et je me mis à le chevaucher dos à lui, les jambes écartaient de chaque côté de la botte de paille. Il me ...