1. weekend avec mon beau père et Max (1)


    Datte: 07/05/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... pénétrait plus profondément. Accroché à mes hanches, je sentais sa bite remplir ma chatte mouillée et excitée. Je me caressais un peu le clitoris, et me mis à gémir de plus en plus fort. Jean s’approcha. Il me tendit sa queue que je pris en main tout en gardant la bite de Marcel entre mes cuisses. Je le branlais vigoureusement. Marcel m’inonda dans un râle et je jouis en hurlant en même temps. Jean prit son membre en main et se branla vigoureusement en me caressant les seins. Le sperme blanc et épais coula sur mes seins. Je me penchai vers sa bite et la léchai pour la nettoyer. Je léchai mes seins également. Marcel me souleva et je m’assis sur la paille. Marcel me tendit sa bite que j’entrepris aussi de nettoyer. — Félicitation, me dit Marcel. Tu es une vraie chienne. Tu satisfais parfaitement les envies des mâles en chaleur. Jean avait raison, tu es parfaite à baiser. Je lui souris. À ce moment, un berger allemand apparu et se mit à nous tourner autour. Jean sortit de son sac un collier noir en cuir. Il me le mit autour du cou. — Tu avais promis d’être notre chienne en punition, pour ta sottise, visiblement tu as encore un mâle à satisfaire ? dit-il — Non, dis effrayée — Regarde il est gentil, dit Marcel Le chien, Max, vint poser sa truffe sur ma jambe en gémissant. Je le caressais entre les oreilles et il avança sa tête entre mes cuisses. Je les serrai réticente à les écarter comme quelques minutes auparavant. — Tu avais promis, me gronda mon beau-père Il se pencha vers ...
    ... moi et doucement m’entrouvrit les cuisses encore chaudes et humides. Le chien avança sa tête. Du bout de la langue, il me lécha la chatte, partit puis revint à plusieurs reprises. Je dus avouer que ça me plaisait. La langue était chaude et râpeuse. J’ouvris un peu plus les cuisses. Il commençait à bander. Je me penchais et le caressai du bout des doigts. Il me lécha plus vigoureusement et j’aimais ça !! Je pris sa tête et l’orientais vers sa gueule. Je bougeais mon bassin. Je voulais plaquer sa langue contre ma chatte. Jean et Marcel souriaient et me laissaient faire. — Vas-y chauffe-le, il doit vouloir te monter comme une chienne en chaleur. Excite-le, m’encouragèrent-ils Je repris la bite longue et rose du chien. Un peu de foutre en sortit. Jean passa sa main sous mon collier et m’attira vers le sol. Je me mis à 4 pattes pour me faire saillir. Le chien me tourna autour excité. Je continuai de caresser son membre et le porta à ma bouche pour le lécher du bout de la langue. Il sentait fort. Marcel appela le chien derrière moi et lui montra mon cul. Sans hésiter le berger allemand me monta. Sa bite chercha fébrilement ma fente. Marcel l’orienta. Le chien me pénétra d’un coup sec et frénétique. Il me baisait à merveille et j’aimais me sentir pleine de sa bite. Bientôt, la base de sa queue grossit et je me retrouvais piégée, obligée de lui donner du plaisir. Je gémissais de plus en plus fort, tellement ça me plaisait d’être prise comme une chienne. Les couilles du chien venaient ...