1. Business Meeting (4)


    Datte: 24/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... rendu compte que la chaleur et le goût du sperme me plaisaient. — OK, lui dis-je en pensant que je n’avais peut-être pas envie d’entendre ça. Pourquoi tu m’expliques tout ça, au fait ? — Juste parce que je ne voudrais pas que tu me juges mal. Si j’insiste pour que tu jouisses sur moi, c’est pas pour te faire plaisir ou pour faire genre "actrice porno", c’est juste parce que j’aime ça. Et toi, tu aimes jouir sur moi ? — Je ne l’avais jamais fait avant, lui dis-je en montrant le plafond du doigt. — Alice a changé à ce niveau-là, si tu veux mon avis. Mais oui, je veux bien croire que ce n’était pas son genre quand vous étiez ensemble, sourit-elle. Mais ça ne répond pas à ma question. — Oui, j’aime bien jouir sur toi si tu veux tout savoir. Mais je suis un peu gêné, comme si je ne te respectais pas, ce qui n’est pas le cas. Pour être tout à fait honnête, je préfère jouir à l’intérieur. Que ce soit de ta bouche ou de ton... enfin, tu comprends. J’aime rester au chaud, quoi, dis-je en souriant. Pour toute réponse, Gladys avala les deux dernières gorgées de son Martini, déposa le verre sur la table et s’approcha de moi à quatre pattes sur le sol. — C’est le genre de discussion qui m’ouvre l’appétit... et la chatte, me dit-elle soudainement très excitée. Gladys aimait me provoquer en me parlant crûment, ce n’était pas la première fois. Elle savait que je réagissais à chaque fois. — Tu n’aimes pas quand je dis "chatte", hein ? Je le sais, me dit-elle l’air cynique. — Non, ce n’est pas ...
    ... ça, mais c’est juste que... — Que tu n’oses pas en faire de même, alors que tu rêves de me parler comme ça, c’est ça ? — Non, je ne peux pas dire que je « rêve » de te parler comme ça, c’est juste que... disons que je n’ai pas appris à parler comme ça, c’est tout. — Mais moi j’aimerais bien que tu sois plus cru. T’essayerais pas ? dit-elle en enlevant son t-shirt et en dévoilant cette poitrine qui me fascinait tant. Allez, s’il te plaît. — OK, si tu veux, dis-je, pas vraiment convaincu. Elle ne portait jamais de sous-vêtements chez elle. Une fois son pantalon de jogging et son léger t-shirt enlevés, elle se retrouva nue comme un ver devant moi, ses seins lourds gonflés, son sexe totalement rasé. Définitivement, j’aimais son corps. Sa peau était toujours chaude comme un pain qui sort du four. Tout chez elle me donnait envie instantanément, son corps m’ensorcelait littéralement. Je déboutonnai ma chemise et l’enlevai alors qu’elle s’attaquait à mes chaussures. — T’as envie de quoi ? me demanda-t-elle en s’asseyant, jambes écartées, sur mes genoux. J’adorais quand elle se mettait comme ça, j’adorais mater son sexe rose ouvert, déjà luisant de désir, qui s’offrait sur mes genoux. Elle remarqua que je la regardais avec un air gourmand. — T’aimes bien me mater, hein ? T’aimes bien mater ma chatte. Je le vois bien. — Difficile à cacher, lui dis-je en prenant mon sexe tendu en main et en caressant son ventre avec. Il est encore bien gonflé, tu ne trouves pas ? — Tu veux faire quoi ? ...