Monts de Vénus au Mont Saint-Michel...
Datte: 08/05/2019,
Catégories:
inconnu,
religion,
vacances,
ascenseur,
collection,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
... imprimées où sont couchées les histoires dont, j’espère, vous vous délectez… et, arrivant dans le jardinet ceint de son promenoir, je me suis aperçu que j’avais oublié mes lunettes de soleil… Immédiatement je suis donc remonté les chercher et je suis tombé sur un spectacle assez singulier… Sœur Marie-Magdeleine, qui était censée retaper mon lit et nettoyer la chambre, était assise à mon bureau et lisait ma prose… Absorbée par sa lecture, elle ne m’avait pas entendu pas revenir dans la chambre et sursauta à mon intrusion. — Eh bien ! Ma sœur…— Heu… Excusez-moi, je ne devrais pas lire ? bredouille-t-elle.— Ben, c’est que… ce n’est pas réellement de la littérature pour vous…— Je vois bien… dit-elle en rougissant. Et tout d’un coup, je suis parti d’un grand éclat de rire, ce qui a détendu l’atmosphère. — Rassurez-vous, lui dis-je, je ne dirai rien à votre supérieure…— Oh ! Merci… Alors, cela restera un secret entre nous… Étant donné l’air soulagé qu’elle prenait, je lui concédai ce secret… — Alors, pour vous remercier, je vous propose, ce soir de vous emmener faire un tour en Enfer…— Où ?— En Enfer… C’est un lieu où personne ne va parce que les scènes qu’il abrite sont… lubriques ! Je suis resté ébahi… Comment, des scènes lubriques au sein du mont Saint-Michel ! Il me fallait voir ça à tout prix… Et nous avons convenu d’un rendez-vous, à la nuit tombée, après la dernière messe… Après cela, vous imaginez combien la journée a pu m’apparaître longue. Souvent, je revoyais le ...
... visage presque angélique, frais de sœur Marie-Magdeleine, penchée sur mes notes et récits érotiques, imaginant ce qu’elle pouvait ressentir à cette lecture graveleuse… et cette proposition… d’aller en Enfer… A l’heure dite, je l’attendais devant une poterne difficilement décelable par le public non-initié. Sœur Marie-Magdeleine y arriva, essoufflée… — Je suis en retard…— Non… Munie d’une grosse clef, elle ouvrit la vieille porte et en écarta quelques toiles d’araignées… À la lueur de néons, nous avons entamé la montée d’un escalier raide et étroit. La jeune sœur, encombrée par sa grande jupe, pour plus de pratique en attrapa le bord et le remonta… Moi qui la suivais, je restai saisi par le spectacle… Deux longues jambes fines, gainées de bas blancs qui s’arrêtaient à mi-cuisses, s’agitaient devant mes yeux. Au sommet d’un palier plus haut que les autres, j’ai même pu apercevoir le fond d’une culotte blanche qui enserrait une paire de fesses à faire damner tous les saints du paradis … Quel gâchis, je pensai, une si jolie fille qui voue son corps à Dieu… et pas aux hommes. Ça, c’est un pêché pour moi… Palier, re-montée, petites coursives, re-escaliers, re-palier, échelles de meuniers… et toujours nous montions… et toujours le spectacle affriolant des dessous de la jeune sœur… Se rendait-elle seulement compte de ce qu’elle faisait ? Était-ce de l’innocence ? De la confiance ou de la provocation ? Au fur et à mesure que nous avancions, sans que je puisse me raisonner, ce spectacle ...