Monts de Vénus au Mont Saint-Michel...
Datte: 08/05/2019,
Catégories:
inconnu,
religion,
vacances,
ascenseur,
collection,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
... très jeune fille tétait… Dans un coin, en haut d’un pilastre, un homme, la chemise sur les reins, tenait fermement une sorte de singe et semblait prendre un plaisir hilare à forcer la bête… Dans un autre coin, la jeune sœur me montra du doigt une autre scène… Une jeune femme, prise par derrière, la bouche occupée par un énorme engin, tenait entre chacune de ses mains deux autres énormes engins qu’elle caressait… Je dois avouer que les scènes érotiques, pornographiques, qui s’étalaient sous mes yeux me mirent le ventre en feu, tant le réalisme, le souci du détail était fort… sans compter qu’explorer cet endroit aux côtés de cette jeune nonne qui n’avait eu de cesse de me montrer haut ses jambes durant nos ascensions successives… tout cela ne me laissait pas de marbre… Mais, en même temps, la kyrielle de scènes, toutes plus cochonnes les unes que les autres, me donnait le tournis et, dans les pires récits de la littérature pornographique, y compris celle qui circule sur le Web, je n’aurais même pas imaginé que cela puisse exister… — Alors ? m’interrogea sœur Marie-Magdeleine. Qu’en pensez-vous ?— Heu… c’est réellement l’Enfer…— N’est-ce pas ! Je dois bien vous avouer ici à la fois le sentiment de gêne et d’excitation qui m’habitait (sans jeux de mots). D’autant plus que la présence de la jeune nonne, dont j’avais pu admirer les jambes, les cuisses et une partie des fesses dodues durant la montée vers cet Enfer, me tiraillait l’entrejambe. Devant tant de représentations ...
... pornographiques, si j’avais été seul, je me serais bien soulagé. Mais la décence m’empêchait, pour l’instant, tout geste équivoque ou choquant. Alors, je continuais à déambuler et admirer l’art statutaire moyenâgeux qui étalait devant moi les vices et le stupre de cette époque… Après m’avoir laissé un long moment me délecter de toutes ces scènes, sœur Marie-Magdeleine me pria de la rejoindre pour entamer la descente. Avant de quitter ce lieu étonnant, je jetai un dernier coup d’œil, et sortis de la pièce par la porte étroite que la jeune nonne tenait ouverte pour moi. L’étroitesse de la porte me força à frôler son corps pour me frayer un chemin entre elle et la muraille. Contre mon buste, j’ai senti ses seins, fermes, qui se soulevaient au rythme rapide de sa respiration. Nos yeux se sont croisés et immédiatement (peut-être par instinct) elle les baissa et devint toute rouge. Une fois encore j’étais gêné par cette situation ambiguë et j’éprouvai soudain une lassitude qui m’obligea à m’asseoir quelques instants sur le haut des marches, histoire de reprendre mon souffle et mes esprits. — Ça ne va pas ? m’interrogea-t-elle.— Si, mais j’ai besoin de quelques secondes de repos pour digérer ce que je viens de voir. Et voilà que sœur Marie-Magdeleine m’enjamba et vint se planter devant moi, deux marches plus bas, le visage à hauteur de mes genoux. Au passage, une fois encore, elle a relevé sa grande jupe ample, me permettant d’admirer ses cuisses nues et d’entrapercevoir au passage le ...