1. Monts de Vénus au Mont Saint-Michel...


    Datte: 08/05/2019, Catégories: inconnu, religion, vacances, ascenseur, collection, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init,

    ... renflement de son pubis, gainé par sa culotte blanche… — Puis-je faire quelque chose pour vous ? me demanda-t-elle d’une voix angélique.— Heu… à priori rien qui soit dans vos cordes… lui répondis-je.— C’est vrai, vous êtes tout pâle ! Je pensais qu’un homme qui écrit ce que vous écrivez pouvait résister à la vision des fresques de l’Enfer ! dit-elle en riant. En prononçant ces dernières paroles, elle me mit la main sur la cuisse, certainement dans un but amical, mais qui eut pour effet de me faire tressaillir et m’envoyer une longue décharge électrique à travers tout le corps. Car à travers la toile de mon pantalon, je sentais la douceur de sa fine main et sa chaleur qui irradiait tout mon être… Alors qu’elle allait me poser une autre question, j’ai soudain aperçu son regard qui quittait mon visage pour le diriger vers mon entrejambe. Là où mon sexe dessinait une bosse bien évidente qui ne pouvait que lui sauter aux yeux (à défaut d’autre chose !). Et sans rien dire, sa main doucement s’est avancée vers cette bosse… Doucement, presque tendrement, elle a allongé ses doigts et a commencé à me masser sur le tissu. Je ne savais plus que dire, ni que faire. Devais-je interrompre cette douce caresse ? Devais-je laisser faire et tant pis pour la suite ? J’optai pour le silence… et me laissai faire. Sœur Marie-Magdeleine, d’un petit geste sec, remonta un peu sa robe et trouva appui pour ses genoux sur la marche de bois, tout en continuant à me caresser dans le silence. Seul le ...
    ... bruit du frottement de sa main sur le tissu était perceptible et de temps en temps, celui de sa respiration saccadée ainsi que de la mienne. Au fur et à mesure, mon sexe durcissait. De plus en plus à l’étroit, d’une main maladroite, elle s’ingénia à ouvrir ma braguette… Le contact de ses doigts chauds à la peau fine et douce fit tressauter mon sexe mis à nu et quelques gouttes de sperme montèrent au bout. La jeune nonne les utilisa du bout de ses doigts pour lubrifier le haut de mon pénis et je l’entendis me murmurer : — Par charité chrétienne, je ne peux vous laisser en cet état… Et avant que je ne puisse répondre, comme dans une sorte de rêve, j’ai vu son buste se pencher sur moi, j’ai senti le souffle chaud de sa bouche sur mon sexe, le contact de ses lèvres douces et moelleuses m’enserrer, m’aspirer, me téter, m’avaler… Puis le contact de ses dents, fines et qui en raclaient la peau, ensuite sa langue humide et dure qui venait me titiller, accentuant encore ma raideur. Le buste à moitié allongé sur les marches au-dessus de moi, de temps en temps, je contemplais la scène de la tête de Marie-Magdeleine en train de me sucer avec application, avec une certaine délectation… "par charité chrétienne"… D’abord, elle m’a avalé en faisant montre d’une grande délicatesse, presque une certaine… timidité mais au fur et à mesure, elle a accéléré ses mouvements, plongeant sa bouche de plus en plus loin, m’absorbant de plus en plus profondément… J’ose concéder, à ma grande honte, que ...
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