1. L'agression - (pas le mien)


    Datte: 09/05/2019, Catégories: Hardcore, Humour,

    ... fesse gauche. Ce doit être la raquette de ping-pong, je sens sa rugosité. Après une alternance fesse gauche et droite, ils entament de longues séries sans changer de fesse. Je hurle, bien inutilement autour de la boule qui obstrue ma bouche. Je suis trempé de ma salive qui s 'écoule en permanence. Peu à peu bien que les coups restent aussi puissants, mes fesses me deviennent comme extérieure à moi-même mais irradiantes, mes cris cessent et je sens que je commence à bander. Ils s'en aperçoivent « Putain, elle bande la salope !» et cessent de frapper, l'un toujours le même, me traite de porc, de putain, de trainée, ce qui ne me fait pas débander.Ils me décrochent de la croix et m'y fixent à nouveau sexe vers eux, palpent mes couilles pendantes et me les ligaturent serrées par un lien au-dessus des testicules puis accrochent successivement des poids qui étirent le cordon qui suspend les couilles au périnée. C'est douloureux mais supportable et je bande plus encore. Faute de nouveaux poids ils passent à autre chose. Il ont trouvé les pinces à linge et mon corps est bientôt surligné de mes épaules au pubis de replis de chair pincés, même sous les bras étendus sur la croix. Il me semble que l'un d'eux passe une ficelle fine reliant toutes les pinces. Pour mes tétons ils ont trouvé les pompes « Aspi-venin » qui me les gobent au maximum; les faisant grossir à la taille de la coupelle d'aspiration.Tout ceci est faiblement douloureux au début mais ils m'abandonnent ainsi et je les ...
    ... entends trinquer dans le fond du grenier.Avec le temps la douleur devient intolérable, j'ai débandé depuis longtemps, et je commence à crier dans mon bâillon. Mon tortionnaire habituel se lève et vient contre moi, en m'insultant. Une douleur terrible ! il vient d'arracher toutes les pinces d'un coup grâce au cordon qu'il avait glissé dedans. La douleur est violente mais s'atténue rapidement. Il enlève aussi la majorité des poids ce qui me soulage bien, les couilles ne devais pas être loin de bleuir ! J'aimerais qu'il libère mes tétons qui deviennent hypersensibles. Il les étire, les tord, en manipulant les pompes, ce qui ne manque pas de faire entrer de l'air et elles se détachent. Mes tétons ont triplé de volume. « Woua ! La salope elle va jouir ». Il me les prend entre pouce et index et commence à me les rouler en serrant très fort. Je hurle puis je rebande (les tétons c'est mon truc), ce qui me vaut une grosse claque sur la queue, qui ne l'empêche pas de rester bandée. Le voilà parti. Je l'entends chercher dans un tiroir. Il est de nouveau près de moi et attache à mes tétons dilatés des pinces munies de poids. Je ne savais plus où elles étaient mais lui, il les as trouvé !Je les entends à nouveau chuchoter au fond du grenier. La douleur des pinces à tétons est devenue intolérable et je gueule comme un perdu un son étouffé par la boule dans ma bouche.Des pas...viennent-ils me soulager un peu ? On m'enlève les pinces et on me roule les tétons entre les doigts, la douleur, là ...