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43.1 – Halle aux Grains. Le garçon au labrador.
Datte: 24/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
Dans la nuit entre le samedi 30 juin et le dimanche 1er juillet 2001… dans le lit de Nico… La peau mate, douce, chaude du beau brun… sa plastique parfaite… le relief magique de ses pecs bombés… le parfum envoûtant, un mélange de déo, de gel douche et de transpiration légère qui se dégage de son torse… son regard de braise… son attitude de macho tout entier focalisé sur son propre plaisir pendant qu’il baise… son corps ondulant sous le mouvement de ses coups de reins… la raideur de sa queue coulissant entre ses fesses… les expressions incontrôlées de son visage affichant les vagues successives de son plaisir de mec… La peau à peine un peu moins mate de Thibault… sa plastique imaginée, inventée, devinée au travers des confidences visuelles dévoilées par ce gendre de vêtements plutôt « bavards » au sujet de la beauté masculine que sont les t-shirts un peu ajustés… (oui, les t-shirts, si éloquents au sujet de la beauté d’un torse masculin, bavards mais jamais assez… ou bien… juste assez, laissant place au plaisir de l’imagination)… son attitude de mec puissant mais doux qu’on lui imagine bien pendant l’amour… son corps ondulant sous le mouvement des coups de reins… la raideur de sa queue coulissant entre ses fesses… les expressions incontrôlées de son visage affichant les vagues successives de son plaisir de mec… La peau basanée, qu’on devine, qu’on sait d’une douceur extrême sur ce genre de gars bien typé… le fameux étalon pur sang arabe… sa plastique pas si difficile à ...
... détailler grâce à un t-shirt blanc bien trop moulant pour laisser beaucoup de place à l’imagination… cette plastique dont il reste quand même bien des choses à découvrir, la curiosité et le désir au paroxysme… le regard excessivement viril… son attitude de macho tout entier focalisé sur son propre plaisir pendant qu’il baise… une virilité imprégnée d’un coté sauvage et conquérant qui n’appartient qu’à ce genre de mec et qu’on devine débordante, inévitable… une virilité à laquelle, il le sait bien, il ne saurait pas s’opposer, une virilité à laquelle il n’aurait aucun mal à se soumettre… son corps ondulant sous le mouvement des coups de reins… la raideur de sa queue coulissant entre ses fesses… les expressions incontrôlées de son visage affichant les vagues successives de son plaisir de mec… Au final, cette nuit là dans le lit de Nico s’était révélée bien mouvementée… et qu’importe si son corps était seul sur son matelas 140 cm… son esprit ne l’était pas… à partir du moment où il avait éteint la lumière et qu’il s’était calé sous les draps, ces trois fantasmes avaient été appelé (in)volontairement à la rescousse pour pimenter une nouvelle branlette épique… ce plaisir solitaire qui, certes, ne remplace pas celui de mélanger son corps et son désir avec ceux d’un bogoss bien chaud, mais qui permet quand même de calmer l’esprit et de détendre le corps pour trouver plus rapidement le sommeil… Oui, pour Nico le sommeil était venu rapidement après la jouissance rapidement amenée par la ...