1. Le fol anniversaire d'Antonia (13)


    Datte: 10/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Abandonnant les sœurs quelques instants, Viviane et moi passons par la salle de bains. Provocatrice, elle dit : — Je t’ai connu plus endurant. — J’ai carrément des circonstances atténuantes ! Elle rit. — N’empêche. Je reste quand même sur ma faim. Je rentre dans son jeu : — Tu veux dire quelque chose par là ? — Et bien, on n’est plus ensemble et jetrouve vraiment dommage que tu finisses comme ça. J’éclate de rire, elle aussi. — Si je comprends bien, je dois me faire pardonner ? — Une invitation dans un bon restaurant, en tête à tête, pourrait certainement arranger les choses, en effet. Je m’approche d’elle et l’embrasse. Elle caresse mon torse, mes fesses. Je dis : — J’ai vraiment dû être d’une médiocrité crasse. — On pourrait envisager que tu aies l’occasion de te refaire après le restaurant. — Peut-être que je n’en aurais pas envie. — Je peux faire en sorte de te la donner cette envie. Elle prend mon sexe entre les mains et memasturbe doucement. Jebande mou. — Ma curiosité me pousse à te demander des détails. — Mmmh, là, je pense à une robe très décolletée, qui découvre la moitié de mes seins. — Pas mal. — Tu préfères une minijupe ? J’en ai une très courte et je pourrais oublier de mettre une culotte. — Avec un haut un peu transparent et pas de soutif non plus. Pour que tout le monde mate tes gros seins et ton cul de rêve. Elle sourit. — Mon cul de rêve ? Celui-ci ? Elle se tourne. A peine durcit, je glisse dans sonvagin et la prends doucement. Elle gémit : — Tu viens chez ...
    ... moi et tu choisis ma tenue. Aucune limite du moment que tu restes avec moi tout la nuit et qu’on baise encore et encore. — Tu es une belle salope. Suce-moi. — Et tu adores ça. Viviane se tourne, s’agenouille et me pompe quelques instants. Yeux dans les yeux. Nous revenons dans la chambre. Tous les quatre, nus sur le lit. Samuela est bien décidée à savoir ce que je préfère chez elle. Je réponds tout de go : — Ta langue. — Quoi ma langue ? — Ta langue, c’est ce que je préfère en toi. — Super… Antonia et Viviane rient. — J’adore ta langue pour deux raisons. La première, très terre à terre, c’est que tu l’utilises divinement lors de nos rapports. La seconde, c’est que tu ne sais pas la tenir et ça m’a permis de sauter un sacrée nombre de tes connaissances ! Samuela rougit et rit : — T’es vraiment con ! — Mais c’est la vérité ! Anto et Viviane peuvent en témoigner, tes cousines étaient au courant, sans compter toutes les autres. Viviane intervient : — C’est vrai ce qu’il dit. Tu as répété à tout le monde qu’il était un super coup, que tu n’avais jamais pris autant ton pied avec un mec, etc. Je ne suis pas sûre que tu sois au courant de toutes celles qui ont couché avec lui. — Les "copines de Sam", ça représente facile une dizaine de nanas. Samuela n’en revient pas : — Quoi ?!? Autant ? — Je t’assure. Tu peux compter. — Bon ben, Anto, Viviane, Prisca et Joëlle, ça fait quatre. Vanessa, cinq. Anne-Marie, six… — Non, pas Anne-Marie. Enfin, pas encore. Samuela sourit puis fronce les ...
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