1. Le fol anniversaire d'Antonia (13)


    Datte: 10/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sourcils. Antonia lui vient en aide : — Il y a Sabine et Sophie. — T’as sauté Sabine et Sophie ? — Un soir d’été pour Sabine, durant une semaine au printemps pour Sophie. Viviane ajoute : — Aurélia et Hélène aussi. Samuela comptabilise : — Ça fait neuf. Pfff, je n’en reviens pas. Vous étiez au courant et vous n’avez rien dit. Il y en a d’autres ? rnyriizk J’hésite. Il en manque deux. — Puisqu’on en est aux confidences. Mais deux choses à promettre : muettes comme des carpes et… — Et quoi ? — Vous ne devez pas m’en vouloir. J’ai un peu glacé l’ambiance avec cette remarque. Le silence qui suit est particulièrement solennel. Je crache le morceau : — Angela. Stupeur au milieu des draps. Angela a une réputation de droiture et de fidélité sans faille. Elle sortait depuis deux ans avec l’homme qui allait devenir son mari quand nous avons eu notre liaison. — Durant cinq jours, peu après la soirée chez Viviane où tu avais beaucoup parlé. Donc non, Angela n’est pas la femme d’un seul homme, comme le veux la légende. Antonia reprend son souffle la première : — Vous travailliez ensemble à cette période, non ? — Oui, et c’est arrivé au moment de son départ de l’entreprise. Samuela est dès lors à l’affut : — Bon, raconte alors. — Deux jours avant son départ, je l’avais invitée à manger à midi. Ce n’était pas la première fois, loin de là. Elle était particulièrement jolie avec une jupe longue évasée brun foncé, une chemisier blanc et des bottes. Au dessert, elle m’avait avoué combien elle ...
    ... me trouvait craquant lorsque nous étions à l’école ensemble. Ça m’avait surpris et fait rire. J’avais moins ri lorsqu’elle avait posé sa main sur la mienne et avoué qu’elle se masturbait en pensant à moi. On était en décembre et il y avait un sacrée vent glacial ce jour-là. Aussi, pour revenir au travail, nous étions passés par un parking souterrain. En bas de l’escalier descendu en vitesse, un smack s’est vite transformé en baiser fougueux. Dans le parking, derrière une camionnette, nos baisers s’accompagnent de caresses. Elle s’agenouille et me suce. J’explose dans sa bouche. Nous retournons au boulot. Samuela est bouche bée : — C’est fou, totalement fou. Je n’arrive pas à y croire. Tu n’es pas en train de nous faire marcher, hein ? Viviane répond pour moi : — Il dit la vérité. Nous nous tournons vers la belle blonde. — Il y a deux ans, nous avons passé une soirée toutes les deux, Angela et moi, et elle m’a tout raconté. Tout ce qu’il vient de dire est rigoureusement ce qu’Angela m’a raconté. Et ce n’est rien par rapport à la suite. Samuela sourit : — Je suis impatiente de t’écouter. — Le lendemain, un jeudi, il ne se passe rien le matin et je me dis qu’elle a eu ce qu’elle désirait. Erreur. En début d’après-midi, alors qu’une séance entre tous les responsables de l’entreprise a lieu, Angela arrive dans mon bureau et me dit qu’elle a beaucoup pensé à moi depuis la veille, qu’elle se sent un peu mal vis-à-vis de son copain, mais c’est plus fort qu’elle. On s’embrasse, on se ...