1. Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (3)


    Datte: 11/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Arrive le lendemain soir, et on l’attend tout en ayant une petite crainte qu’elle ne vienne pas. C’est vrai qu’en y réfléchissant, c’est inespéré ce qui nous arrive. Comme je l’ai dit, j’ai soixante-deux ans, mon beauf soixante-huit, et cette belle femelle n’en a que vingt-sept. Il est l’heure et notre jeune petite coquine est au rendez-vous. C’est vrai qu’elle est jolie, autant qu’elle est salope, ce qui n’est pas peu dire. Elle a un grand sac et nous confirme qu’elle a apporté les deux godes que je lui ai demandés, ceux la même qu’elle m’a adressés en photos, me montrant comment elle s’en sert. On ne prend pas le métro, et elle semble déçue; cette petite salope aurait bien aimé retrouver les trois jeunes de la veille et qui l’ont si bien défoncée et farcie. Nous par contre on n’y tenait pas, de peur que dans l’euphorie de la situation elle ne nous abandonne pour eux; et puis on a prévu autre chose qui devrait lui plaire et satisfaire son envie insatiable de sodomies profondes. Elle nous suit jusqu’à la voiture, Christian s’installe au volant, et je vais à l’arrière avec elle. Il y a des stores sur les vitres et on les a relevés pour être à l’abri des regards. Je m’assieds au milieu et elle s’allonge sur moi, son bas ventre sur mes cuisses. Je glisse ma main sous sa jupe, elle n’a toujours rien dessous, et je lui fouille la chatte la faisant rapidement mouiller. Je récupère un de ses godes dans son sac, un gode ventouse lisse et blanc, un bel engin comme sur les photos ...
    ... qu’elle m’a envoyées. Je frotte le gland entre ses lèvres impatientes, je l’enfonce et tout le manche avec, jusqu’au socle. Elle soulève son ventre pour mieux s’offrir, et je fais aller son joujou d’un bout à l’autre, à un rythme soutenu. Elle jouit sans retenue, crie son plaisir dans le secret de la voiture. A ce rythme je vais avoir mon pantalon trempe de ses sécrétions, et elle se soulève pour que je le baisse ainsi que mon slip. On se réinstalle et je sens la chaleur de son corps sur mon sexe qui ne reste pas insensible. Je la masturbe à nouveau puis l’invite à me relayer; elle glisse sa main entre ses cuisses pour se saisir de l’objet et se masturber elle même. Je récupère alors le second gode, il est aussi long (20cm), s’élargit à la base (5cm), cranté pour plus de sensations, et noir pour lui rappeler les bites de blacks, ses préférées. Il a un ruban soudé sur l’embout, et dont je ne saisis pas de suite l’utilité. Je relève sa jupe sur ses reins, et caresse son cul, fouille sa raie, explore son petit trou. Je crache dessus, la doigte, et elle s’ouvre comme par habitude. Je plaque le gland de couleur sur son superbe œillet, et je pousse. Comme pour sa chatte, je ne trouve aucune résistance, et je l’introduis presqu’entier, laissant juste de quoi pouvoir le tenir du bout des doigts. Elle se cambre encore plus pour que je la matraque mieux, ce que je fais aussitôt, et elle ne se retient plus, jouit recto verso, mouille de partout, hurle ses jouissances. Je sais qu’elle aime la ...
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