1. Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (3)


    Datte: 11/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’autre jusqu’à mi cuisses, et on profite des dernières minutes pour se nettoyer réciproquement de nos bouches gourmandes. On est enfin arrivé, descend de voiture, et elle nous suit, impatiente de connaître le sort qu’on lui a réservé. Il nous reste une petite distance à faire à pied, où elle va devoir affronter le regard des éventuels passants: sa robe présente une énorme tâche à l’avant, comme si elle s’était pissée dessus, tellement elle a dégouliné de plaisir. On est dans l’appartement de mon beauf, et il nous conduit direct dans la chambre d’ami qui lui sert aussi de salle de sport. Il a un vélo d’intérieur, et Vanessa commence à comprendre ce que l’on attend d’elle. Elle m’a envoyé des superbes photos où elle faisait son sport matinal, et maintenant je veux la voir s’exécuter en réel, la voir, l’entendre, la sentir, mettre tous mes sens en éveil. On est vite à poil tous les trois, je fixe son gode ventouse sur l’arrière de la selle, et lui ordonne de le sucer, pour le lubrifier comme elle le fait tous les jours, bien que là il n’en ait pas besoin tellement il est encore luisant de sa mouille récente, vaginale et anale. Peu importe, elle suce avec gourmandise, apprécie ses liqueurs autant qu’elle apprécie mes doigts qui fouille sa chounette. On a fini les préparatifs, et elle va nous montrer ses talents de cycliste. Elle est debout sur les pédales, on règle la hauteur de la selle, et elle s’empale la chatte sur son sceptre toujours en forme. Elle se met alors à pédaler ...
    ... vaillamment, et avec Christian on mâte ce merveilleux spectacle de sa vulve étroite, odorante et dégoulinante, qui coulisse infatigablement sur ce pieu bien dressé. Je caresse ses fesses, sa raie, son petit trou, le fouille, puis la fait stopper le temps de l’embrocher de ma bite au mieux de sa forme. Je suis en elle, lui administre quelques pénétrations autant viriles que profondes, puis reste enfoui jusqu’aux couilles sans bouger. Elle reprend son exercice, et je me délecte de son cul qui me masse la queue à merveille. Christian ne reste pas sans rien faire, il la tripote, les seins, la chatte, torture son clito dans la limite de l’acceptable, glisse ses doigts dans son vagin en complément du gode. Elle jouit sans interruption, enchaine les orgasmes, dégouline à flots, de mouille et de sueur tellement elle s’active à pédaler. C’est divin, aucune femelle ne m’a jamais aussi bien baisé et je lui dis tout le bien que je pense de ce moment idyllique: — Oh Vanessa, je n’y crois pas, tu es trop chaude petite salope, que c’est bon comme tu m’astiques le manche. Ca te plait, putain, de me traire la queue dans l’espoir de recueillir mon lait chaud et crémeux. Baise moi ma pute, fais moi monter la sève, vide moi les couilles... Elle se déchaine, son huître fait du yoyo sur son gode et les doigts de notre partenaire, son anus monte et descend sur ma colonne prête à exploser. J’éjacule de toutes mes forces, crache tout mon jus au fond de son trou assoiffé de sperme. Je la saisis par les ...