1. Saison 1 - Épisode 2


    Datte: 11/05/2019, Catégories: ff, fagée, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, sf,

    Résumé : Pas facile, le mieux étant de lire (et de noter) le texten° 14735Pour ceux qui ont la flemme (ou pas l’envie, ou pas le temps) : Chronique érotico-politique d’un village en 2036, alors qu’on retourne aux temps bénis de l’obscurantisme.Principaux personnages rencontrés dans le premier épisode :Marlène Crochet, ingénieur chimiste au chômage, vit chez sa mère-grand.Yvane Silet-Chovy, maire du village.Luc-Olivier Mélencenot, son premier adjoint.Mario Melchin, adjoint au maire, boucher.Melisse Hingaliers, conseillère municipale, viticultrice, veuve voyeuse.Gael Bilts, ingénieur informaticien spécialiste Informatik & télécom. Lundi 15 septembre 2036 : premier rendez-vous Mélisse en tremblait. Dans quelques minutes, Marlène allait frapper à sa porte. L’exhibition à laquelle elle avait assisté dans les vignes l’avait totalement déstabilisée. L’image de la jeune femme se donnant du plaisir l’avait rattrapée le soir même dans son lit. Sa libido, endormie depuis des décennies, s’était réveillée. Sa main avait retrouvé le chemin la menant au plaisir. Des gestes naturels qu’elle croyait avoir oubliés lui avaient apporté une incroyable jouissance. Ce soir encore, elle avait du mal à réaliser. Les jours suivants, elle s’était arrangée pour travailler dans le coteau à l’heure du passage de Marlène. Pour rien. Sinon pour tomber un peu plus sous le charme. La course féline de la jeune femme, ses muscles luisant au soleil, sa poitrine naviguant librement sous le maillot ...
    ... ensoleillaient la vie de la viticultrice. Cette vision matinale l’émoustillait. Elle mouillait comme une chatte en chaleur. Cette humidité l’accompagnait tout au long de sa journée. Journée qui se terminait invariablement par un plaisir solitaire durant la projection d’un film interne dont la jeune ingénieur était l’unique protagoniste. Jamais, elle n’osait se mettre en scène avec elle. Pas à cause du désir contre nature qu’elle éprouvait mais elle ne voulait pas souiller son rêve avec son vieux corps fripé. Elle se demandait encore où elle avait trouvé le courage pour rendre visite à Sophie Dejoue, la grand-mère de la jeune femme. Prétextant le manque de main-d’œuvre, elle lui avait demandé si sa petite-fille serait éventuellement intéressée par quelques jours de vendanges. Marlène, en personne, l’avait appelée le soir même pour la remercier d’avoir pensé à elle. Le combiné téléphonique avait tremblé dans les mains de Mélisse à l’écoute de cette voix sensuelle, enveloppante. Elle n’avait pu s’empêcher de porter la main entre ses cuisses directement au cœur de sa féminité. La brièveté de la communication ne lui avait pas permis d’atteindre le septième ciel. Mais à peine le combiné reposé, elle s’offrit un solo pour index et majeur, avec rythmique pouce sur clito qui détrempa la culotte qu’elle n’avait pas pris le temps d’ôter. Les trois jours de vendange furent un délicieux supplice pour Mélisse. Le temps, malgré les premières gelées matinales, maintenant habituel en septembre, se montra ...
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