1. Saison 1 - Épisode 2


    Datte: 11/05/2019, Catégories: ff, fagée, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, sf,

    ... connaissait pas. Pour le soutif, la question ne se posait pas. Les œufs sur le plat qu’elle avait en guise de seins n’en nécessitaient pas le port et elle n’en achetait plus. Sa culotte en coton première communiante n’avait rien de bandant. Un instant, elle eut envie de s’en passer. Elle s’était morigénée : quelle importance ses sous-vêtements, Marlène n’allait pas vérifier. À cette pensée, une crispation suspecte l’étreignit. Autre manifestation de son désordre émotionnel, elle s’était plantée devant son armoire à glace pour s’y mirer. Elle accomplit deux ou trois pas de danse, faisant voleter la légère robe d’été, découvrant ses jambes. Bon d’accord, ça manquait de relief (manque de hanches, absences de rondeurs mammaires) mais sa silhouette longiligne, son bronzage naturel, ses mèches arc-en-ciel. Et surtout ses jambes ! Elle en avait toujours été fière. Ouais, elle en jetait encore. Serait-ce suffisant ? Suffisant pourquoi d’ailleurs ? Aussi lorsque le son aigre de la sonnette grésilla, elle alla ouvrir la porte dans un état second. La même surprise passa dans leur regard, la même remarque jaillit simultanément : — Tu es magnifique ! Elles éclatèrent de rire et tombèrent dans le bras l’une de l’autre pour une étreinte qui se voulait amicale. Pourtant, elle dura un tantinet trop longtemps et l’une comme l’autre avait pris quelque couleur quand elles se séparèrent. Mélisse tenant Marlène par la main l’entraîna dans sa cuisine. Magnifique, Marlène l’était. Elle portait, ...
    ... elle aussi, une robe mais chastement boutonné de la taille au cou. Plus récente que celle de Mélisse, elle était aux normes U.S.D. Elle cachait tout. Sur Mélisse ou deux tailles au-dessus, cette tenue n’eût pas été choquante mais les formes sculpturales de la jeune femme la rendaient indécente. Elle moulait ses cuisses et son cul mieux qu’un juste-au-corps. Si elle portait une culotte, ce ne pouvait être qu’un string. Quant à sa poitrine, dissimulée par un strict col mao, elle explosait littéralement l’étoffe. Une pure incitation au viol, aggravée par sa démarche chaloupée. Mélisse du haut de ses 165 cm et chaussée de talons plats se sentait toute petite, minuscule. Cette reconnaissance de leur réciproque effort d’élégance avait détendu l’atmosphère. Servi par le robot-maid, elles discutèrent à bâtons rompus en partageant le repas imaginé par la veuve. Après avoir évoqué les vendanges, les problèmes de société, inévitablement, la discussion avait dévié vers leur vie sentimentale d’abord, puis sexuelle. Mélisse n’avait pas parlé aussi librement depuis des lustres. Elle s’était remémoré avec nostalgie sa jeunesse, la liberté des mœurs qui régnait à cette époque, le fiasco de sa vie sexuelle. Marlène avait, elle aussi, résumé sa vie et la pauvreté des ses expériences amoureuses. La complicité née durant les vendanges s’affirma, se transforma. Échanges de regards, sourires complices, gestes caressants… Quand l’obscurité avait envahi la pièce, dans un accès de romantisme, la ...
«1...345...8»