Saison 1 - Épisode 2
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
ff,
fagée,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
sf,
... Brutale séparation. — Quoi, tu m’as vu ? Où ? Marlène, catastrophée, se laissa tomber à même la moquette. Elle s’affala contre le montant du canapé et encercla ses genoux de ses bras croisées. — J’ai honte. Mélisse s’agenouilla auprès d’elle et l’enlaça. — N’aie pas honte. Je t’ai vue dans les vignes, oui et alors ? Depuis je ne cesse de penser à toi. Je crois que je suis… Les mots se bloquèrent à l’entrée de sa bouche. Elle se contenta de caresser doucement le visage de la jeune femme. — Moi aussi ! Depuis que nous avons parlé… Les prêtrimams ne seraient pas contents, ironisa-t-elle.— Les prêtrimams n’ont, heureusement, pas droit de cité à Nordec. Et on les emmerde…— Pour l’instant !— Ne sois pas si pessimiste ! En tout cas profitons-en ! Leurs bouches se soudèrent. Premier baiser au féminin pour l’une et pour l’autre. Douceur de leurs lèvres humides. Mélisse était transportée. Elle n’avait pas ressenti de tels sentiments, un tel désir depuis les premiers ébats avec son seul amour avant qu’il ne devienne son connard de mari. Ses mains, invinciblement attirées, dénudèrent les épaules bronzées, partirent à la découverte de la poitrine qu’elle convoitait depuis des jours. Comme tétanisées, elles n’osaient se poser franchement sur cette chair. Elles la frôlaient, la survolaient en rase-mottes. Effleurant les tétons érigés, elles s’engouffraient dans la vallée entre les seins. Marlène planait tout autant. Seuls, trois hommes l’avaient touchée, ils avaient traité ses seins avec ...
... une rude virilité. Ces timides affleurements l’étonnaient, l’affolaient. Des picotements électriques parcouraient son corps, du bout des orteils au creux de sa nuque. Un plaisir intense mais serein la ravageait. Le mot plaisir ne s’appliquait d’ailleurs pas à ce qu’elle ressentait. Avec un certain effroi, elle se rendit compte qu’au delà des caresses, c’était surtout les vibrations qu’elles partageaient qui la mettaient dans cet état. Même, Jean-Alex qu’elle avait cru aimer ne lui avait procuré de telles sensations. Cette révélation la paralysa. Elle attira Mélisse contre elle provoquant un glissement de leurs corps. Elle l’étreignit avec force. Allongées à même la moquette, elles se tinrent immobiles. Mélisse caressant doucement les cheveux de Marlène qui avait blotti la tête contre son absence de poitrine. Ô temps suspend ton vol… — N’aie pas peur, Marlène ! Tout va bien ! Je crois que je t’ai…— Tais-toi ! S’il te plaît, ne dis pas n’importe quoi ! Tu le regretteras !— Tu as raison ! Laissons les mots.— Ne bouge pas ! Serre-moi fort contre toi ! Sois douce ! Marlène ne se reconnaissait pas. Adepte de la baise sportive, ce soir, elle n’avait qu’une envie : sentir le corps de Mélisse vivre contre le sien, son souffle à l’unisson du sien. Lorsque la veuve dégageant les bras roula la robe le long de son torse, elle se laissa faire. Lorsqu’elle découvrit ses fesses et la fit glisser sur ses cuisses, elle l’aida. Enfin, elle se dégagea un bref moment de l’étreinte pour s’extirper ...