Bourgeoise remplie au sperme (2)
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Aussitôt, Florian se précipita pour enlever la jupe. Il défit les boutons et écarta les pans faisant péter la fermeture-éclair. Puis il baissa la culotte. Marie-Clotilde ouvrit d’elle-même les jambes. Elle semblait décidée à ne plus faire semblant. Florian précipita la tête vers cette généreuse invitation. Il fit juste un petit commentaire : "Z’avez vu les gars comment qu’elle s’épile la chatte ? Juste un ticket de métro. C’est du propre, du soigné, pas du travail d’amatrice. Toujours prète pour une bonne queue... ou une bonne langue" ! Et il se mit immédiatement à lui lécher la vulve. Dès les premiers coups de langue, elle poussa de petits cris et ondula du bassin. Elle plongea ses mains dans l’épaisse chevelure bouclée du mâle qui l’amenait au bonheur et lui caressa convulsivement le cuir chevelu. Trop concentrée par ce cunnilingus ardent, les yeux fermés, elle ne fit pas attention à Gurvan et Vladimir qui étaient montés sur le lit et offraient leurs zobs à sucer. En lot de consolation, ils tentaient de triturer les nichons pour autant que les bras tendues de la femme le leur permissent. Mon lit était trop petit pour tout le monde et je dus attendre sur le côté en me pignolant, tout en matant la scène qui n’était pas désagréable à regarder, tant s’en fallait ! La bouche de Florian, sa langue épaisse et curieuse, fouillaient tous les recoins du sexe dont j’apercevais parfois le détail quand Florian prenait un peu de recul pour écarter les lèvres de ses doigts et aspirer ...
... l’abricot gonflé à bloc. Ça lui faisait de l’effet à la dame et elle commençait à gémir de plus en plus souvent, de plus en plus vite et de plus en plus fort.... trop fort. Je dus fermer la fenêtre pour qu’on ne l’entendît point de l’extérieur. Tant pis pour la chaleur qui ne ferait que monter. Enfin, elle eut un premier orgasme, très bref mais très intense, durant lequel elle ne sut que répéter : "oh oui, oh oui, oh oui...". Elle gicla sur la gueule de mon pote qui en eut l’air ravi. "Ouaouh. Z’avez vu comme elle mouille. Ça va bien glisser là-dedans" ! Et il se mit en position du missionnaire mais sans la pénétrer encore. "Tu la veux ma queue là" ? - hmmmmm - Tu la veux ? - Ouiiiii. - J’veux t’entendre, demande-le ! - Je veux ta queue. - Dis-le avec des mots à toi, tes mots de bourgeoise dévergondée... alors ? - Vas-y, monte-moi, prends-moi, plante-moi bien fort. - C’est vraiment ça que tu veux ? - Saute-moi, saute-moi tout de suite. - Y’en aura pour les copains. - Oui ! - C’est sûr toutes nos queues ? - Oui, j’vais prendre toutes vos bites, vos grosse bites poilues, vos grosses bites qui puent la bite ! - Eh ben... voilà... on y est...Aller, on y va. Et d’un coup sec il la pénétra : "Aïe... aïe... c’est trop gros, ça fait mal, vous me déchirez" ! - Tu vas t’y faire salope ! Elles s’y font toutes. - Aïe... oulala, c’est énorme. - Putain c’est vrai que t’es bien étroite. Putain, c’est la super éclate. Et il se mit à aller de plus en plus fort. Elle se plaignit encore un peu, ...