1. Bourgeoise remplie au sperme (2)


    Datte: 11/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... L’entendre me supplier comme cela me fit souvenir de toutes les fois où elle m’avait rembarré, toutes les fois où elle avait pris ses grands airs pour me rabaisser. Je sentis monter un sentiment de puissance et de vengeance et je m’entendis ordonner : "Mieux que ça salope"! - Dites-moi, jeune homme, voulez-vous me sodomiser ? loclxxfh - Plus vulgaire connasse. Arrête avec tes grands airs de bourgeoise ! - Voulez-vous bien m’enculer ? - Tu veux que je te déboite le cul hein, c’est ça ? - Oui, déboitez-moi le cul ! - Déboitez-moi le cul jeune homme ! - Déboitez-moi le cul jeune homme! - Encore mieux que ça ! Invente, imagine ! - Encule-moi, encule-moi toute ! - C’est vraiment ce que tu veux ? - Oh oui, mets la moi dans le cul. - Dis que t’es qu’une sale pute qui attend qu’on la monte. - Oh oui, prends-moi, je suis ta pute maintenant. Casse-moi le cul ! Pendant ce temps là, Florian avait pris le gel et m’avait lui même graissé la bite et je m’étais laissé faire cette branlette par un mâle mais il semble que personne n’y prit attention. Alors j’appliquais mon gland contre l’œil de bronze. Je bandais à mort. Je le répète, c’était la première fois. Je poussai d’un coup, violent. Mon vit entra d’une seule poussée jusqu’au fond arrachant un cri de douleur et un coup de rein à ma pauvre victime. Ce cri me fit peur et je me retirai aussitôt un peu perdu. "Remets-là tout de suite. Elle fait sa douillette, mais elle a de plus gros calibres en caoutchouc dans son placard. J’te jure que ...
    ... c’est pas la première fois qu’elle prend un engin dans le cul ! D’ailleurs on dirait qu’elle est toute propre. Si ça se trouve t’es venue exprès pour te faire sauter ma garce" ? Je remis ma bite dans le trou mais plus lentement. Elle gémit encore un peu. C’était l’extase. Ma première pénétration était une révélation. Je me sentais à l’étroit, j’avais vraiment l’impression de lui remplir la cavité. Je glissai de plus en plus vite, facilement. J’adorai la sensation que me procurait le balancement de mes couilles, surtout quand elles frappaient les chairs de la femme. "Branle-toi le clito"! Je sentis les doigts et les ongles quand elle se masturba. "Attends, attends, on va la prendre en sandwich. Retire-toi, le temps que je me mette". La proposition venait de Gurvan. Il s’allongea. Elle vint s’empaler sur le pieu. Je me remis derrière en enjambant les jambes du mec et les mollets de la femme collés contre elles. Mais je dus me mettre sur mes pieds et pas sur mes genoux pour la prendre en bouledogue en m’agrippant par devant aux nibards. Je sentis l’autre bite derrière la paroi et le frottement de mes couilles épilées sur celles poilues de Gurvan. Et je me mis a bourrer comme une bête. Vladimir assistait à la scène, bite molle, tandis que Florian textotait frénétiquement. Soudain il prit une photo de nous. "Déconne pas Florian, j’veux pas me retrouver à poil sur les réseaux sociaux" ! - Nan, regarde, on voit pas les têtes. - Si, quand même un peu. - Tant qu’on voit pas les visages. ...