1. Gène du vice ? (1)


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Personnages : -Hoa, narratrice, jeune asiatique de 18 ans au début de l’histoire -Adrien, son copain, 20 ans -Virginie, la sœur d’Adrien, 18 ans PREMIERE PARTIE CHAPITRE 1 Le début de cette histoire s’est déroulé il y a bien longtemps. Je venais tout juste de fêter mes 18 ans et j’étais éprise de liberté. J’avais passé une adolescence assez classique dans une ville de province, je terminais le lycée par l’obtention d’un Bac professionnel en vente. Il ne me semblait pas que mon enfance ait été troublée par le fait que j’ai été adoptée par une famille française lorsque j’étais bébé. Certes j’avais conservé les traits de mes parents vietnamiens, mais je me sentais totalement intégrée à ma famille et à mon entourage. Côté relations amoureuses, tout se passait au mieux. Mon physique, par son côté « exotique », attirait le regard de nombreux garçons. Je ne faisais d’ailleurs rien pour les détourner. Même si je ne me maquillais que très légèrement, je m’habillais de manière sexy, mais pas provocante, et jouais de mes longs cheveux sombres très lisses et j’entendais généralement avec plaisir les commentaires flatteurs de la gente masculine. Assez jeune je fus attirée par les joies du plaisir physique. Après quelques séances d’auto-découverte de mon corps et des plaisirs qu’il pouvait me procurer, j’ai franchis le pas en fréquentant quelques garçons un peu plus âgés qui m’ont fait découvrir – et apprécier – les rapports sexuels. J’ai rencontré Adrien quelques jours après mes 18 ans ...
    ... et j’ai rapidement été séduite par ce beau garçon blond de 2 ans mon ainé. Mon attirance pour les joies du sexe m’a poussé à coucher avec lui très vite, en plus je me plaisais en sa compagnie. Il était le candidat idéal à une première relation sérieuse. Dès nos premiers ébats, j’ai compris que s’il n’était peut-être pas – encore – amoureux de moi, il me désirait très fortement. Mon visage asiatique à la peau lisse, mon ventre tout plat, mes petits seins fermes bien dessinés et mes jambes souples semblaient l’exciter très fortement. Je crois que mon prénom vietnamien, Hoa, contribuait également à son désir. Je compris rapidement qu’il avait davantage d’expérience sexuelle que mes précédents partenaires, il savait faire monter mon plaisir et me maintenir ensuite longtemps dans un état proche de la jouissance, mais sans me la faire atteindre. Cette attente et cette frustration décuplaient ensuite la puissance de mon orgasme. Pour la première fois j’avais laissé un garçon me sodomiser. Cette pratique me questionnait beaucoup, la plupart des copines avec lesquelles j’en avais parlé trouvaient cela répugnant, mais ne l’avaient jamais expérimenté. J’avais décidé de juger par moi-même. Si les premières minutes de pénétration ne m’avaient pas procuré de plaisir particulier, petit à petit la sensation d’être remplie m’avait excité et j’avais globalement apprécié l’expérience. Nous avions rendez-vous par un bel après-midi, je devais le rejoindre dans sa chambre, chez ses parents, qui ...
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