1. Gène du vice ? (1)


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... se sentir bien prise… Je ne sais pas pourquoi les filles se disent tellement rebutées par le sexe anal. Personnellement cette pénétration me procurait un plaisir intense, différent des rapports vaginaux, mais tout aussi apte à me faire jouir. Dès qu’il eut trouvé son rythme dans mon cul, Virginie s’allongea devant moi en écartant ses cuisses, elle voulait clairement que je lui retourne son cunnilingus. Malgré mon inexpérience et les pénétrations régulières dans mon fondement, je me mis à lécher – sans doute un peu maladroitement – son sexe orné d’une fine toison entretenue. Après plusieurs minutes de sodomie, Adrien accéléra le rythme de son piston et je jouis une seconde fois ! Lui, en revanche n’avait pas encore éjaculé. Alors que je m’effondrais après l’orgasme dévastateur, sa sœur lui fit signe de venir la prendre et il planta sa bite trempée de mon jus dans la chatte de sa sœur que je venais de préparer. Je matais mon mec en train de baiser sa propre sœur, quel spectacle immoral et délicieux ! Je découvris alors le plaisir d’observer des personnes en train de baiser. Même si je ne participais pas directement, la vue d’une telle scène me faisait mouiller. Mes doigts glissaient naturellement sur mon bouton d’amour. Il la pénétrait très fort et elle ne fut pas longue à venir, en poussant des cris de folle. Adrien sorti de son sexe trempé et d’instinct je m’approchais de sa verge pour la prendre dans ma bouche. Excité comme un fou, il juta sur mon visage. Je n’étais pas ...
    ... encore bien habituée à recueillir du sperme dans ma bouche, mais cela ne me rebutait pas du tout. Virginie non plus ne semblait pas dégoutée par le foutre, elle vint me rouler une pelle bien baveuse… Adrien nous félicita et nous dit qu’il recommencerait dès qu’on voudrait… Après cette après-midi de débauche, j’aurais voulu rester plus longtemps chez Adrien, mais je devais rentrer pour préparer un prochain entretien d’embauche. Je retournais donc à regret chez mes parents. Après une soirée occupée à préparer l’entretien qui avait lieu le lendemain matin, j’allais me coucher. Je commençais seulement à réaliser l’immoralité de la scène à laquelle j’avais participé. Le premier partenaire de ma vie avec lequel j’envisageais une première relation sérieuse niquait sa sœur sans aucune gêne et me demandait de participer ! Une partie de moi me disait de le plaquer sans délai. Mais tout de même, j’avais accepté de coucher avec eux, personne ne m’avait forcé. Et puis, quel plaisir j’avais ressenti lorsqu’il me prenait pendant que je prodiguais mon premier cunnilingus. Que la sensation de la langue de Virginie sur ma chatte avait été forte ! J’avais beau tenter de me raisonner, je savais dès les premiers instants qu’Adrien avait mis au jour mon instinct profond, celui d’une salope perverse. Dès que j’arrivais à cette conclusion, je me sentis mieux, je devais assumer ma nature et profiter de l’opportunité que m’offrait mon petit ami et de sa très belle sœur. Je me dis que j’avais une chance ...