Elle et Elle (14)
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
Lesbienne
... concentrer… "Laetitia…" dis-je à son oreille dans un souffle. Elle dût prendre cela pour un encouragement. Dans un moment de douce folie, elle glissa sa main dans mon legging et poursuivit sa caresse contre le tissu de ma petite culotte. Je sursautai. Par pur réflexe j’agrippai sa main jusqu’au sang. "Tu es folle" fis-je, aussi silencieusement que possible. Déposant quelques bisous dans mon cou, mon amante me branla à travers le tissu trempé de mon string, puis poussa l’élastique sur le côté et enfonça deux de ses doigts en moi. "Putain…" J’étais en proie au vertige. Tremblante, je fondais. Le bruit, la position, l’obligation de garder le silence, et surtout le fait que ma petite amie était en train de me baiser dans un lieu public, en plein milieu de la foule, tout cela décuplait mon plaisir. Mon amante pistonnait ses doigts dans mon vagin, tournicotait autour de mon petit bouton, faisait tout pour m’amener au septième ciel. La folle furieuse. Pour retenir les gémissements qui ne demandaient qu’à jaillir, je verrouillai mes dents et mes lèvres. J’avais l’impression que mon legging était mouillé de l’entrejambe jusqu’aux genoux. Ça me faisait presque mal tellement j’avais envie de l’embrasser. Ça ne s’arrêtait pas, en plus. La main de Laetitia – l’autre main, se posa sur ma chemise, bougeant presque imperceptiblement au-dessus d’un de mes seins. Ça me brûlait tellement c’était bon. C’était dingue, c’était impossible, c’était génial. jwjmmtq Impossible de rester passive. ...
... Mes mains avaient trop envie de son corps. Cette folie-là était contagieuse. Sans réfléchir parce que j’en étais incapable, je me mis à peloter son cul à travers sa robe. Heureusement, elle tournait le dos à la paroi… Possédée par une volonté qui m’échappait, ma main alla s’aventurer sous le tissu, se poser sur ses fesses nues, toucher sa culotte. Laetitia était presque aussi trempée que moi. Frénétiquement, parce que mes gestes étaient tremblants d’excitation, je tirai sur la ficelle de son string pour que celui-ci coulisse en elle. Cela lui arracha un halètement, bientôt suivi par d’autres. Ça me bouleversait. Pendant que Laetitia me masturbait, j’imprimai des va-et-vient à sa lingerie, qui vint agacer sa chatte aussi sûrement que mes doigts l’auraient fait. Encore et encore, sans m’arrêter, malgré ma vision qui tanguait et ce soleil chaud qui naissait dans les doigts de mon amante pour se propager dans mon corps, je la branlais et elle me branlait. Elle me mordit la clavicule. "Oh bébé" dit-elle d’une voix brisée. J’adorais ça. Je poussai un jappement. Presque une plainte. J’avais envie. J’avais besoin. Sans arrêter de donner du plaisir à ma copine avec sa culotte, sous l’emprise de désirs plus forts que moi, je plantai un doigt dans son petit trou du cul. Quelque chose craqua en elle, mit le bazar, comme si elle était sur le point de se briser en mille morceaux. Sa respiration, qui s’était changée en halètement, devint une série de gémissements qu’elle ne parvenait plus à ...