Sophia d'Antipolis
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
revede,
Oral
... quatorze heures, Fabrice.— Quatorze ? J’ai dormi six heures alors…— Oui, vous savez encore compter.— Au fait, que faites-vous là ?— C’est MA chambre, vous savez ?— Oui, oui, mais vous n’êtes quand même pas restée depuis ce matin ici, à me contempler dormir ! Elle ricane, les bras croisés : — Vous vous surestimez ! Je suis simplement revenue manger quelque chose. Mon appart est très proche de mon boulot, dix minutes à pied maxi.— Dix minutes à pied seulement ? Vous avez bien trouvé !— Oui, mais ça me coûte bonbon ! Ce qui explique que ce ne soit pas bien grand.— Oui, j’imagine. C’est vrai que chez moi, c’est plus grand… Mais vous allez me dire que Calais et ses environs, ce n’est pas la même chose que Nice. Je me trompe ?— Allez à la fenêtre et dites-moi si vous voyez la même chose chez vous… Intrigué, je me lève, et d’un pas pas très assuré, je me dirige vers la fenêtre. Je cligne des yeux, la lumière est trop vive. Peu à peu, je m’habitue, le paysage se dessine petit à petit, coloré, très coloré et vivant. Je contemple la vue sur les collines, cette végétation assez luxuriante dans laquelle se nichent, ci et là, des petites maisons blanches et rouges. Sans parler du ciel bleu de chez bleu. Une vraie carte postale. Je me retourne vers Sophia, et je constate : — Oui, vous marquez un point ! Chez moi, c’est plutôt le règne du vert avec souvent du gris par-dessus. Elle ne me répond pas, elle rougit, me regardant un peu plus bas que mon visage. Je me demande quoi, et je ...
... l’interroge muettement. Elle se contente de me faire un sourire en coin. Je baisse la tête et… Et je constate que je suis en pleine forme dans mon caleçon ! Le chapiteau est tendu au maximum ! Un bref moment, je ne sais pas quoi faire, puis, soudainement, je me décide, les bras sur les hanches : — Eh bien quoi ? Vous n’avez jamais vu un homme au réveil ?— Euh si… mais…— Mais quoi, jamais autant ?— Ne me faites pas rigoler ! J’ai connu mieux que ça !— C’est cela, oui…— N’empêche que nous ne nous connaissons que depuis quelques heures que déjà vous m’exhibez votre machin sous mon nez ! Je m’approche d’un pas d’elle, elle recule légèrement. Je rétorque : — Osez me dire que vous n’avez jamais rencontré un mec et que vous n’avez pas zigzigué ensuite dans la foulée ?— Zigziguer ? Tiens, je ne connaissais pas ce mot-là !— Ça ne répond pas à ma question ! Et puis, je ne vous l’ai pas mis sous votre nez, il me semble ! Et de plus, il est habillé, mon machin, comme vous dites !— Cachez-moi cette horreur ! Elle attrape un oreiller et le propulse vers ma virilité tendue. Je bloque le projectile avant qu’il ne vienne faire du dégât. Elle en profite pour sortir de la chambre. Je pose l’oreiller sur le lit, quelque chose me dit que ça ne va pas être triste pour ces prochains jours ! --oOo-— Me voici à présent exhibé dans l’agence de Nice ! Avec ma virilité en avant ? Mais non ! Sophia m’a traîné à son travail afin que je rencontre ses collègues et surtout que je prenne connaissance de divers petits ...